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Conseils pour réduire vos coûts d'impression

Former mes collaborateurs aux bonnes pratiques d’impression ?

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Pour quoi faire ?

  • Pour qu’ils utilisent pleinement les outils d’impression qui sont à leur disposition.
  • Pour qu’ils adoptent des pratiques économes en papier et en encre.
  • Pour que votre entreprise initie facilement une démarche de développement durable.
  • Pour fédérer vos collaborateurs autour d’un projet simple et pratique.

Tout ça c’est bien joli mais quel retour sur investissement (ROI) ?

  • Sans grand bouleversement de votre organisation, vous pouvez économiser immédiatement entre 10 et 20 % de votre budget d’impression (à vos calculettes).
  • La formation entre dans votre budget de formation continue obligatoire car ASSPI est centre de formation agréé.

Bien. Et comment ça se passe ?

  • La formation dure  1/2 journée sur site.
  • Elle s’adresse à des groupes de 5 à 6 personnes maximum.
  • Elle est préparée pour être adaptée à vos outils d’impression et à vos attentes.

Voilà ! Il ne vous reste plus qu’à contacter ASSPI pour convenir d’un rendez-vous. iobiols@asspi.fr

Etude Konica Minolta sur l’impression éco-responsable

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Konica Minolta présente les résultats d’une étude menée auprès d’environ 500 de ses clients, au mois de juin 2010, sur leur comportement en matière d’impression responsable. L’étude du constructeur japonais révèle que les PME interrogées (des structures allant de 6 à 500 salariés) ont majoritairement (81%) adopté des éco-gestes visant à réduire leur consommation de papier, d’encre et d’énergie et qu’elles apportent une attention particulière au tri ainsi qu’au recyclage du papier et des consommables.

Ces mesures spécifiques se traduisent par l’impression obligatoire en mode recto/verso (61%), par la limitation du nombre d’impressions par salarié (15%) et  par la formation des salariés pour une meilleure utilisation des systèmes d’impression (12%). En revanche, les entreprises interrogées sont 29% à n’avoir pu changer leurs habitudes d’impression principalement par manque de temps.

Autres données, 93% limitent leur consommation de papier : non impression des emails (39%), ou bien encore en utilisant le verso des feuilles imprimées (26%). Mais les éco-gestes plus complexes tels que l’utilisation du raccourci impression pour les pages web (3%), ou le paramétrage par l’utilisateur des pages web (1%) à imprimer sont rarement utilisés.

78% sont vigilantes quant à leur consommation d’encre : l’impression en noir & blanc des documents à relire est majoritairement plébiscitée (56%), vient ensuite le choix de la numérisation des documents (17%), puis l’utilisation du mode éco (14%) et du mode brouillon (13%).

Pour 58%, le papier est trié et orienté vers des filières de valorisation du papier. Néanmoins, l’utilisation du papier recyclé est loin de faire l’unanimité puisque 73% ne veulent pas payer plus pour un papier 100% recyclé.

Le recyclage des cartouches d’encre est également presque systématique (83%). Dans la majorité des cas (62%), les PME font appel à une société de collecte des consommables usagés. 31% renvoient par la poste les cartouches usagées au fabricant.

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Changer les pratiques d’impression

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Il ne suffit pas d’élaborer une charte, de définir des commandements et surtout pas de vouloir les faire appliquer de force. Charte de bonnes pratiques ou liste de commandements, les politiques de responsabilisation des utilisateurs passent d’abord par la pédagogie.

Le terrain doit être préparé pour cela.  Sans idée de ce que vous coûte l’impression ni de son volume, il est impossible de fixer un objectif d’économie à la fois ambitieux et réaliste. Cette démarche débute  par une mise à plat de votre fonctionnement , de vos usages et de vos spécificités métiers avant d’analyser et quantifier le gaspillage. A partir des données recueillies, ASSPI bâtit une charte tenant compte des aspects financiers et fonctionnels. Les mesures proposées sont validées et soutenues par vous. Dans les bureaux, il peut ainsi être nécessaire de rappeler les comportements éthiques à travers des posters ou via les pages Web d’un Intranet, de valoriser les meilleurs contributeurs au projet (champions) avant d’obtenir l’adhésion complète des collaborateurs. Parmi les gestes simples mis en avant, il y a, par exemple, l’utilisation de la prévisualisation avant de lancer l’impression, l’impression en mode recto verso des documents à usage externe dès que cela est possible et systématiquement pour ceux à usage interne, l’impression en mode brouillon, le bannissement de l’impression des e-mails ou encore l’utilisation des modes d’économie d’énergie et des supports recyclés.

Les clés du succès de notre démarche reposent sur la mise en avant des aspects économiques. En effet, les utilisateurs ne sont certes pas des experts de l’impression mais ils ont une connaissance des coûts, ne serait-ce que ceux des consommables qu’ils achètent en tant que particuliers pour alimenter leur imprimante personnelle. Et même si, une fois au bureau, ils ont  une fâcheuse tendance  à oublier ce point précis, ces utilisateurs seront toujours sensibles à une problématique économique reposant sur des faits. Avant de dire « on imprime trop en couleur », mieux vaut savoir s’il s’agit de documents à usage interne ou externe, de mails, de pages Web ou de documents de travail, par exemple. A travers des éléments concrets, la prise de conscience se fait plus naturellement et empêche le plus souvent l’apparition de freins ou de réticences.

L’autre particularité de l’accompagnement par ASSPI est la mise en avant des aspects écologiques à travers une communication, un accompagnement pédagogique et de l’information concrète. Chacun de nous à titre personnel est sensibilisé aux aspects environnementaux et adhère donc plus facilement à une démarche de développement durable dont il est acteur.

Communication positive et concrète, participation active, formation sur mesure, en s’appuyant sur ces trois piliers , ASSPI réduit la plupart des facteurs de rejet et met ainsi de votre côté tous les atouts pour que votre projet d’optimisation soit une totale réussite.

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Les enjeux d’une politique d’impression responsable

Les PME et l’optimisation des coûts

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Considérant les économies comme un moyen de réduire l’impact de la crise, 89% des PME affirment avoir entamé, en interne, une politique d’optimisation des coûts.
Qu’est-ce qui motive les entreprises à faire des économies? Pour 67% d’entre elles, il s’agit de la recherche de rentabilité. De même, 52% des PME espèrent redynamiser leur trésorerie et 48% y voient un moyen de faire face à un contexte économique morose.
A quel niveau ces économies ont-elles été réalisées? Plus de sept entreprises sur dix affirment avoir réduit les coûts des frais de fonctionnement.
Enfin, à la question « que feriez-vous si aviez économisé 20.000 euros dans votre entreprise? », 40% des PME investiraient dans la modernisation de l’outil de travail. 22% redistribueraient les économies réalisées en primes et n’hésiteraient pas à recruter.

* Etude réalisée en novembre 2009, auprès de 150 PME/PMI par Costalis.

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Des coûts d’impression ? A quoi ça ressemble ?

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70 % des entreprises ne connaissent pas précisément leurs coûts d’impression et pourtant, ils représentent en moyenne 3 % de votre chiffre d’affaires.

Alors, de quoi se composent-ils ? Petite liste non exhaustive :

  • Les coûts d‘acquisition : amortissements, loyers…
  • Les consommables : encres, toners, tambours, papiers…
  • La maintenance : extensions de garantie, retour atelier, immobilisation…
  • Les pages imprimées non utilisées : pages jetées car ratées, oubliées, lues une seule fois…
  • Le temps passé par les collaborateurs à régler les problèmes techniques : drivers, bourrages, appel SAV…
  • La gestion des factures des prestataires : enregistrement comptable, réclamations, avoirs…
  • L’impression de pages couleur non maîtrisée : mails, brouillons…
  • La méconnaissance des fonctionnalités : recto-verso automatique, plusieurs pages par feuille, impression sécurisée…

Si les 3 premiers éléments sont les plus évidents, ils ne sont pas pour autant toujours identifiés car certaines factures sont « obscures » et certains contrats « opaques ».

Quant aux autres éléments, ils sont presque toujours oubliés dans les calculs alors qu’ils constituent une source très importante d’économies.

En tant qu’expert de ces sujets, nous vous fournissons une photographie éclairée de vos coûts réels et vous accompagnons dans la mise en place de solutions sur mesure, adaptées à vos besoins et économes. Les résultats sont garantis par notre mode de rémunération (% des économies réalisées).

Contactez-nous : iobiols@asspi.fr ou 06 81 02 89 74

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Réduire ses coûts d’impression

Les enjeux d’une politique d’impression responsable

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La mise en place d’une politique d’impression responsable doit répondre à 4 types d’enjeux : économique, écologique, technologique et sociétal.

L’ enjeu économique : c’est l’enjeu le plus évident. Réduire les coûts tout en offrant le meilleur service aux utilisateurs, limiter les dépenses d’impressions. Cela passe par l’élimination des impressions inutiles, la rationalisation du parc, la réduction des coûts d’impression à la page.

L’enjeu écologique : la consommation de papier, la consommation d’encres polluantes, le recyclage des matériels et des consommables sont autant de sujets qui doivent mobiliser chacun au sein de l’organisation.

L’enjeu technologique : le développement des systèmes d’information doit s’accompagner d’une dématérialisation des documents, l’utilisation de la couleur doit faire l’objet d’une réflexion spécifique, la veille technologique doit permettre d’accéder à la technologie la plus économique et écologique.

L’enjeu sociétal : la plupart d’entre nous utilise les nouvelles technologies mais reste attaché à l’impression comme étant un passage obligé. La mise en place de la politique de « non impression » constitue donc un changement majeur pour lequel il faudra accompagner les utilisateurs.

Ces 4 enjeux doivent faire l’objet d’une communication continue et doivent être portés par un ou des « champions » pour faire de la politique d’impression le cœur de l’organisation documentaire.

Une police économique…

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Dans la série « petites astuces » pour économiser l’encre (ou le toner) qui nous coûte si cher et qui est si polluante, je vous propose de changer nos habitudes en matière de polices d’impression.

Les polices les plus utilisées sont Arial, Calibri et Times New Roman. Or, parmi les polices standards de Windows (quelle que soit la version), la police Century Gothic est bien plus économe en encre et est pourtant très lisible. L’inconvénient de cette police est qu’elle est plus large que les autres et risque donc de vous amener à consommer plus de papier, surtout si vous imprimez des pages complètes.

Autre solution très intéressante : la police Ecofont Vera Sans. Elle a été développée par une entreprise hollandaise et permet d’économiser jusqu’à 20 % d’encre. Le principe ? La police est composée pour partie de trous qui ne nuisent pas à la lisibilité dans les tailles les plus fréquentes (10, 12).Ne vous laissez pas décourager par l’éventuelle apparence médiocre à l’écran. Faites un essai sur papier.

Téléchargez la gratuitement sur : http://www.ecofont.com/fr/produits/vert/police/telechargement.html.

Après téléchargement, installez- la et elle sera accessible dans la liste habituelle des polices disponibles.

Cette société vous propose également d’utiliser un logiciel vous permettant de transformer votre police habituelle en Ecofont. Ainsi, vous continuez à utilisez Arial mais en version économique. Pour acquérir la licence d’utilisation de ce logiciel, il vous en coûtera 15 € par poste (tarifs dégressifs possibles).

Diverses astuces et bien d’autres façons d’optimiser vos outils d’impression peuvent faire l’objet d’une formation de vos collaborateurs par ASSPI. Cette formation entrera dans votre budget formation obligatoire (ASSPI a un N° de formateur Agréé) et dans votre politique de RSE (Responsabilité Sociale et Environnementale).

Pour en savoir plus, contactez-nous iobiols@asspi.fr

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Caprices d’imprimantes

Mais je ne suis qu’une TPE…

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On réduit les coûts d’impression d’une TPE comme ceux d’un grand compte :

  • En s’attaquant au matériel. A la création, le dirigeant de TPE sait qu’il a besoin d’un matériel pour imprimer. Il va donc dans une grande surface, spécialisée ou non, et achète le matériel le moins cher, souvent une imprimante jet d’encre. Quand l’activité se développe, il peste de devoir acheter de plus en plus souvent des cartouches hors de prix mais il n’a pas le temps de chercher une autre solution. C’est pourtant le premier levier permettant de réaliser des économies.
  • En s’attaquant aux pratiques d’impression. Toujours par manque de temps, les fonctionnalités du matériel ne sont pas utilisées au maximum (recto-verso, 2 pages par feuille, économie de toner…).Certaines impressions pourraient être évitées.

Ces 2 axes d’action peuvent vous faire économiser jusqu’à 50% de votre budget. Sachant que pour un volume de 1000 pages par mois, vous dépensez plus ou moins 1500 € par an (hors papier), l’étude de ces coûts est aussi (plus ?) important pour vous que pour une grande entreprise.

ASSPI vous accompagne dans cette démarche et en véritable partenaire, nous sommes rémunérés au résultat (% des économies).

Contact : iobiols@asspi.fr

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Caprices d’imprimantes ?

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Vos imprimantes vous font croire qu’elles n’ont plus d’encre pour obtenir des cartouches toutes neuves et …chères.

Ce phénomène a plus ou moins d’ampleur selon les marques et les modèles : certaines vont jusqu’à réclamer une cartouche neuve alors que celle en place contient encore 40 % d’encre.

Pour les imprimantes jet d’encre, le problème est délicat puisque, dans la plupart des cas, la cartouche porte également la tête d’impression. Forcer l’utilisation au-delà du message « cartouche vide » risque d’endommager la machine (échauffement).

Pour les imprimantes lasers, quelques astuces vont vous permettre d’imprimer des pages supplémentaires.

Retirer la cartouche et la secouer horizontalement : astuce relativement connue mais très efficace. Du toner se dépose à nouveau sur le capteur et l’imprimante repart pour quelques pages (plusieurs centaines parfois). L’inconvénient de cette astuce est qu’il faut faire la manipulation fréquemment (toutes les 2 pages parfois).

Retirer la cartouche et cacher les 2 capteurs (capsules transparentes sur les 2 côtés de la cartouche) avec du ruban adhésif opaque : cette astuce fonctionne très bien quand elle est possible (certains toners n’ont pas de capteurs accessibles). L’imprimante peut ainsi continuer à imprimer (certains ont ainsi dépasser l’alerte « fin de toner » de 1500 pages !!!).

Retirer la cartouche et attendre quelques secondes avant de la remettre : vous faites ainsi croire à votre imprimante que vous avez changé le consommable. Cette astuce fonctionne sur des matériels dont le fabricant a choisi de paramétrer le nombre maximum de pages par cartouche dans le logiciel de la machine.

Réinitialisez le compteur (combinaisons de touches, menus cachés…) : même principe que l’astuce précédente mais l’imprimante n’initialise le changement présumé de cartouche qu’avec des commandes qui ne se trouvent pas dans le manuel utilisateur…

Cette recherche de solutions pour imprimer plus en dépensant moins fait partie d’une démarche plus large d’optimisation des outils d’impression dans laquelle ASSPI vous accompagne.

Réduire ses coûts d’impression

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Les coûts d’impression peuvent représenter 3% du chiffre d’affaires d’une entreprise. Un budget qu’il est possible de réduire jusqu’à un tiers, en rationalisant le parc d’imprimantes et en contrôlant mieux les travaux d’impression.

Combien d’imprimantes sont en service dans votre entreprise ? Combien de pages sont imprimées par mois ? Pour quel coût global ? Quel est le prix de revient à la page pour chaque type d’imprimante utilisée ? Qui sont, dans l’entreprise, les principaux consommateurs ? Celui qui est capable de répondre à toutes ces questions peut passer son chemin. Il tient en sa main les principaux éléments pour mener à bien une politique de gestion de l’impression. Pour les autres, une bonne nouvelle. Ils ont, à portée de main, un gisement d’économie sur leurs frais généraux.
Le faible prix d’achat des imprimantes d’entrée de gamme favorise la multiplication de ces dernières, au moment où les photocopieurs d’antan sont devenus des « multifonctions » reliés au réseau, alors que certaines imprimantes laser, associées à un scanner, sont devenues des « tout-en-un ». Bref, la frontière entre imprimantes et copieurs n’existe plus.
Le point clé d’une bonne gestion de l’impression, c’est la connaissance du parc et des coûts qu’il génère. Un recensement précis est bien sûr indispensable et la centralisation des commandes de consommables et des demandes d’intervention de maintenance évidemment nécessaire mais pas toujours vérifiée dans la vie quotidienne de l’entreprise. Il sera alors possible de connaître exactement le coût des impressions, en n’omettant pas de réunir imprimantes et copieurs. Les enquêtes montrent qu’il s’imprime de plus en plus de pages et que le nombre de copies diminue. Alors que le coût d’utilisation d’un copieur est inférieur à celui d’une imprimante bureautique. Les deux mondes sont aujourd’hui réunis, mais il subsiste des différences dans le mode de facturation…

Les économies ne se trouvent pas toujours là où on les attendrait. Par exemple, la gestion des formulaires pré-imprimés, à l’aide d’un logiciel adéquat, permet de réduire le nombre de formulaires et surtout offre un système d’impression à la demande, ce qui évite de conserver les stocks, fait gagner du temps et supprime le pilon, où près d’un tiers des pré-imprimés finissent leur vie.

Article paru dans Le Monde Informatique