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Conseils pour réduire vos coûts d'impression

La rationalisation des outils d’impression vue par ASSPI

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Très souvent, les systèmes d’impression des entreprises sont choisis et mis en place de façon tout à fait empirique. Ils ne font que s’adapter à une succession de besoins utilisateurs. Par voie de conséquence, la physionomie globale du système d’impression ne respecte que très partiellement les standards et les procédures qui facilitent sa gestion ainsi que le contrôle et le respect des coûts induits.

La situation la plus courante…

La plupart des organisations s’inscrivent dans le schéma  suivant :

  • La direction des Systèmes d’information met à disposition des moyens d’impression de plus en plus sophistiqués.
  • Les services achats ou généraux paient les consommables.
  • La production de documents couleur va croissante.
  • Les utilisateurs impriment ce qu’ils veulent
  • La maîtrise budgétaire est très imparfaite mais devient cruciale.

Les clés d’une bonne maîtrise…

Maîtriser son système d’impression, c’est déjà pouvoir répondre aux interrogations suivantes :

  • Qui imprime, qui copie ?
  • Quel volume ?
  • À partir de quelle application ?
  • Quand ?
  • Sur quel périphérique ?

Questions auxquelles peu d’entreprises sont en mesure de répondre de façon formelle ou immédiate.

L’approche de ASSPI…

Afin d’aider les entreprises à optimiser et rationaliser leur système d’impression et à en maîtriser les coûts, ASSPI leur apporte son expertise en matière d’études et de conseil, de solutions organisationnelles et d’accompagnement.

À cet égard, ASSPI vous propose une démarche d’intervention, largement éprouvée par de nombreuses entreprises :

  • Audit des moyens existants et flux d’impression effectivement produits au sein de l’entreprise, évaluation des coûts directs par inventaire sur site et analyse des données de l’organisation. Analyse détaillée des pratiques des différents utilisateurs en interne par entretiens et réunions.
  • Préconisations d’implantation intégrant notamment les impacts éventuels sur l’organisation et la formation des utilisateurs, Définition d’une « politique d’impression » prenant  en compte les objectifs fonctionnels, méthodologiques et financiers de l’entreprise.
  • Engagement et suivi des appels d’offres auprès des constructeurs.

Cette démarche de base peut être complétée par un accompagnement plus long…

  • Déploiement du nouveau parc, suivi des différentes vagues de mise en place.
  • Mise en place du pilotage du parc (suivi des consommations, comités de pilotage,…).

Notre approche est basée sur la collaboration. La collaboration entre les équipes internes et le consultant externe permet de partager : vous avez la culture de votre organisation et une expérience interne, nous sommes en contact avec le monde extérieur. Nous apportons des compétences techniques et  des points de référence (données marché, résultats généralement obtenus, pistes à étudier…). Grâce à notre expertise, nous sommes force de proposition et nous nous adaptons à la situation particulière de votre organisation. Ainsi chaque étape fait l’objet de communications et d’échanges pour garantir que les livrables sont en phase avec vos attentes et vos priorités particulières.

Nos préconisations seront constituées de :

–        Un port folio présentant les caractéristiques techniques des futurs matériels.

–        Un scénario d’évolution permettant d’aboutir à un parc de systèmes d’impression optimisé et renouvelable totalement tous les 3 ans.

–        Un guide des modes opératoires souhaitables autour des moyens d’impression (consommables, utilisation de la reprographie centrale, pilotage du parc…).

–        Une proposition de politique d’impression reprenant les règles d’implantation et d’usage.

Un retour sur investissement appréciable…

De façon générale, le budget impression représente entre 1 et 3% du chiffre d’affaires de l’organisation et la part de documents bureautique, 20% de ce montant. Grâce à la rationalisation des systèmes d’impression, l’entreprise peut réaliser des économies sensibles comprises entre 15 et 25 %, assurant ainsi un ROI sur 1 an et très souvent plus rapide.

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Les coûts d’impression peuvent représenter 3% du chiffre d’affaires d’une entreprise. Un budget qu’il est possible de réduire jusqu’à un tiers, en rationalisant le parc d’imprimantes et en contrôlant mieux les travaux d’impression.

Combien d’imprimantes sont en service dans votre entreprise ? Combien de pages sont imprimées par mois ? Pour quel coût global ? Quel est le prix de revient à la page pour chaque type d’imprimante utilisée ? Qui sont, dans l’entreprise, les plus gros consommateurs ? Celui qui est capable de répondre à toutes ces questions peut passer son chemin. Il tient en sa main les principaux éléments pour mener à bien une politique de gestion de l’impression. Pour les autres, une bonne nouvelle. Ils ont, à portée de main, un gisement d’économie sur leurs frais généraux.
Le faible prix d’achat des imprimantes d’entrée de gamme favorise la multiplication de ces dernières, au moment où les photocopieurs d’antan sont devenus des « multifonctions » reliés au réseau, alors que certaines imprimantes laser, associées à un scanner, sont devenues des « tout-en-un ». Bref, la frontière entre imprimantes et copieurs n’existe plus.
Le point clé d’une bonne gestion de l’impression, c’est la connaissance du parc et des coûts qu’il génère. Un recensement précis est bien sûr indispensable et la centralisation des commandes de consommables et des demandes d’intervention de maintenance évidemment nécessaire mais pas toujours vérifiée dans la vie quotidienne de l’entreprise. Il sera alors possible de connaître exactement le coût des impressions, en n’omettant pas de réunir imprimantes et copieurs. Les enquêtes montrent qu’il s’imprime de plus en plus de pages et que le nombre de copies diminue. Alors que le coût d’utilisation d’un copieur est inférieur à celui d’une imprimante bureautique. Les deux mondes sont aujourd’hui réunis, mais il subsiste des différences dans le mode de facturation.

Impressions à la demande

Les fabricants historiques de copieurs font la promotion de la facturation à la page, un système bien rodé, qui a le mérite de la transparence et qui permet de connaître avec précision l’état des impressions machine par machine. Des spécialistes comme ASSPI proposent  de réaliser une expertise qui débouche sur des conseils d’organisation et de rationalisation du parc. Avec à la clé, dans la plupart des cas, une diminution du nombre d’imprimantes. Des économies qui peuvent atteindre 30 %.
La technique est, dans ses grandes lignes, simple : suppression des imprimantes personnelles, installation d’imprimantes haut de gamme et de multifonctions, dont le coût à la page est inférieur, et qu’il est plus facile d’administrer. Les économies ne se trouvent pas toujours là où on les attendrait. La gestion des formulaires pré-imprimés, à l’aide d’un logiciel adéquat, permet de réduire le nombre de formulaires et surtout offre un système d’impression à la demande, ce qui évite de conserver les stocks, fait gagner du temps et supprime le pilon, où près d’un tiers des pré-imprimés finissent leur vie.
De leur côté, les spécialistes de l’imprimante bureautique ne nient pas l’intérêt théorique de ce système. Mais ils insistent sur les effets secondaires, où les freins psychologiques ne sont pas à négliger. La possession d’une imprimante personnelle est souvent associée à un statut au sein de l’entreprise…
Quant à la facturation à la page, elle est également discutée : une page presque blanche revient moins cher qu’une sortie de présentation marketing tout en couleur. En substance, le slogan s’apparente à « payez uniquement pour l’encre que vous utilisez réellement ». Sous-entendu, la facturation à la page, à la sauce copieur, peut se révéler peu intéressante. Quand, par erreur, on imprime une page blanche, celle-ci est facturée au même prix que les autres…Il n’y a donc pas de solution miracle mais bel et bien une solution adaptée pour chaque cas à condition d’établir un diagnostic précis et de se fixer des objectifs ambitieux mais réalistes… Seul un intervenant indépendant des constructeurs et autres distributeurs peut vous garantir l’analyse objective et les préconisations optimales pour votre organisation.

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Faut-il imprimer en couleur ?

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Selon une enquête Ipsos réalisée pour Lexmark en juillet 2011, 28% des employés de bureau européens ne sont pas convaincus d’avoir réellement besoin de l’impression couleur, même s’ils en reconnaissent les bénéfices. L’étude, menée auprès de 970 employés de bureau à travers 12 pays européens, pointe les principales motivations pour imprimer en couleur : des documents plus attractifs (54%), une image plus professionnelle (41%) et davantage d’attention de la part du lecteur (29%).
Parmi les répondants, 68% déclarent que leur entreprise imprime moins d’un quart de leurs documents en couleur. Priorité est faite aux photos (52%), aux présentations (47%) et aux brochures (34%).

Pour Lexmark, l’étude montre que les craintes liées à l’absence de maîtrise des coûts engendrés par l’usage de la couleur poussent les entreprises à continuer à imprimer en noir. Et le constructeur américain a beau jeu d’avancer que ces réticences pourraient être infondées si sont mises en place une optimisation du parc en fonction des besoins métiers, et une politique d’impression couleur reposant sur un accompagnement des utilisateurs et la possibilité de limiter l’accès à l’impression couleur au sein de l’entreprise.

Au-delà du facteur coûts, près d’une personne sur 10 n’a, selon l’enquête, pas accès à une imprimante couleur tandis que 4% des personnes interrogées affirment qu’imprimer en couleur, ne fait pas partie de leur politique d’entreprise.

« L’impression couleur est souvent perçue comme un « plus » à défaut d’une pratique courante même si la majorité des interrogés reconnait l’aspect plus professionnel que donne un document imprimé en couleur », analyse Etienne Maraval, directeur marketing de Lexmark France.

Sources : Printnews

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Informatique et consommation électrique

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L’informatique représenterait un cinquième de la consommation énergétique globale des bureaux franciliens. C’est l’un des enseignements du bilan de l’Arene-IDF sur les consommations d’énergie dans les bureaux. Réalisée par le réseau Rose (Réseau Observatoire et Statistiques de l’Energie), cette étude porte spécifiquement sur des secteurs où l’informatique est prépondérante dans les métiers exercés.

BUREAUTIQUE : 25 % DE LA CONSOMMATION D’ÉLECTRICITÉ FINALE

Selon les conclusions de cette étude, les consommations d’énergie des activités de bureaux en Ile-de-France s’élèvent à 16,6 TWh pour 55,8 millions de m2 de surfaces de bureaux. Sur les 16,6 TWh, la bureautique représente 16 % de la consommation totale d’énergie soit 2,6 Twh. La bureautique n’étant alimentée que par l’électricité, la part de la bureautique monte à 25 % de la consommation d’électricité finale (part la plus importante après l’éclairage et les usages spécifiques – 31 %).

DES ÉCARTS EN FONCTION DES SECTEURS D’ACTIVITÉ

Ramenée au secteur d’activité, la bureautique représente 18 % de la consommation finale du secteur finance-informatique-télécom (643 GWh) et 27 % de la consommation d’électricité, à part égale avec l’éclairage et autres spécifiques. Pour le secteur public, cette part passe à 12 % de la consommation finale (465 GWh) et 27 % de la consommation d’électricité.

Enfin, dans les autres secteurs du privé, la bureautique pèse 17 % de la consommation finale (1557 GWh) et 24 % de la consommation d’électricité. Un dernier chiffre à relativiser en raison du grand nombre de branches métiers regroupées dans cette troisième catégorie.

Source : Riposte Verte

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Le coût d’une mauvaise gestion des impressions est plus élevé que vous ne croyez…

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Pour améliorer l’efficacité et réduire la charge de travail ainsi que les coûts informatiques associés, la plupart des PME ne se doutent pas que la première chose à faire est de réorganiser le processus d’impression. Beaucoup d’entre elles n’appréhendent pas correctement les coûts et les complications liés à une tâche d’impression considérée comme « simple ».
L’une des principales difficultés est l’impossibilité de gérer de façon centralisée, depuis un même poste d’administration, l’ensemble des imprimantes. Par exemple, les toners et le papier doivent être renouvelés régulièrement et les bourrages papier sont fréquents. À ces opérations de maintenance continue, s’ajoutent les appels à l’aide incessants dont l’énoncé commence souvent de la manière suivante : « quand je clique sur Imprimer, il ne se passe rien ». Pour l’administrateur, cela représente une source de problèmes infinie et des heures de dépannage.

La gestion des périphériques est également un problème important en matière d’impression. Dans la plupart des entreprises, l’environnement d’impression se développe de façon hétérogène au fil des années, cumulant divers modèles d’imprimantes. Pour les administrateurs, cela se traduit par des problèmes de maintenance récurrents causés par les nombreux pilotes d’imprimantes. À chaque changement de système, l’administrateur doit vérifier la compatibilité avec l’ensemble des imprimantes. Il doit donc identifier, tester et installer les pilotes correspondant à chaque imprimante, ce qui ralentit considérablement le processus d’administration.

Avec les imprimantes réseaux, il ne s’agit pas uniquement d’affecter l’utilisateur au bon groupe d’utilisateurs, par exemple l’équipe marketing ou commerciale, mais il faut l’affecter également à un lieu, par exemple une zone, un étage ou une aile d’un bâtiment. Ainsi, lorsqu’un utilisateur se connecte à un réseau, il souhaite que les imprimantes disponibles dans sa session se trouvent à proximité immédiate de son emplacement physique, pour un accès plus facile. Les utilisateurs des petites entreprises peuvent apprendre individuellement à mapper leurs propres imprimantes ou à les installer sur leur ordinateur de bureau. Cependant, lorsque le nombre d’utilisateur est plus important, cette pratique est peu vraisemblable.
L’impression peut être un véritable fardeau pour une infrastructure, nécessitant de nombreuses ressources informatiques et de réseau. Heureusement, il existe de nombreuses façons d’améliorer l’impression dans les PME.

L’installation d’un serveur d’impression est la première chose à faire pour résoudre les problèmes d’impression, même dans les petits environnements. L’administration et la mise à jour du système sont centralisées et simplifiées. Les interruptions du processus d’impression n’affectent pas immédiatement les applications. En outre, les infrastructures de type bureaux virtuels, serveurs de terminaux et de type « systèmes hôtes » restent stables grâce à l’externalisation du processus d’impression. Cette externalisation offre également un point de gestion centralisée de l’utilisation des ressources, telles que la bande passante.
Cependant, l’installation d’un serveur central d’impression nécessite du temps notamment lors des mises à jour, car chaque modèle d’imprimante fonctionne avec son propre pilote, parfois dans différentes versions selon les systèmes d’exploitation aussi bien côté serveur que côté client. L’utilisation d’un pilote d’imprimante virtuel constitue une solution pratique. Grâce à cette solution, le fabriquant du pilote original est identifié de façon centrale sur le serveur d’impression et une seule version de chaque pilote d’imprimante doit être identifié, testé et installé. Avec cette technologie, il n’est plus nécessaire d’installer les pilotes d’imprimantes sur chaque poste client et les anciens modèles d’imprimantes peuvent toujours être utilisés, même si les ordinateurs des utilisateurs sont mis à niveau, par exemple vers Windows 7.

L’utilisation des bons paramètres d’impression permet de réduire la charge réseau en optimisant la compression et en réduisant la puissance de calcul nécessaire. Le « Green IT » est aussi une tendance qui amène aujourd’hui les entreprises, à identifier précisément leurs coûts d’impression, réduire la consommation en papier, en encre et en toners, tout en ajustant au mieux le nombre d’imprimantes qu’elles utilisent.

Source Printnews

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Déployer un parc de systèmes d’impression

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A priori, en dessous de 20 matériels, ça paraît plutôt simple. Et pourtant…

Déployer 20 photocopieurs, ne nécessitait que de s’assurer que les emplacements prévus étaient suffisamment grands et équipés d’une prise électrique. Déployer une vingtaine d’imprimantes était un peu plus complexe mais ne nécessitait que de s’assurer de la disponibilité d’une prise réseau ou d’un port USB et d’une méthode efficace de déploiement des drivers.

Déployer un parc mixte d’outils d’impression optimisé nécessite une vraie gestion de projet. Il faut :

  • Prévoir les éventuels travaux nécessaires : installations de prises réseaux, de prises téléphoniques, aménagements d’espaces (tables, étagères)…
  • Prévoir le cadencier précis de déploiement (combien de machines par demi-journée, sur quelle durée,…)car il est souvent peu rationnel de se contenter de fixer une date.
  • Prévoir le cadencier de retrait des matériels en place. Les fournisseurs non retenus font souvent preuve de peu de bonne volonté pour retirer leurs matériels et les imprimantes acquises posent parfois des problèmes de stockage ou de gestion des déchets.
  • Prévoir les réglages par défaut qui seront mis en place sur l’ensemble du parc : recto-verso, N&B…
  • Prévoir le déploiement des drivers d’impression, des utilitaires pour scanner, faxer, sécuriser, tracker…
  • Prévoir le planning des formations utilisateurs en envisageant si possible une séance dès la mise en place et une autre 3 semaines plus tard pour les fonctions avancées.
  • Prévoir la gestion des consommables : approvisionnement, création du stock tampon, procédures de commandes automatisées, recyclage des cartouches vides…

Certains diraient qu’une fois le ou les prestataires choisis, le projet d’optimisation du parc est terminé. J’ai tendance à penser qu’il ne fait que commencer… Pour leurs clients grands comptes, les prestataires mettent à disposition un chef de projet qui va piloter tous ces aspects. mais pour les autres, il faudra trouver d’autres ressources. Une des solutions peut être de confier le pilotage du déploiement au consultant qui a mené l’audit ou à un spécialiste du secteur. Au final, il peut s’avérer très judicieux et économique de consacrer une petite partie des économies générées par l’optimisation au pilotage du déploiement du parc. Combien coûte un retard de livraison de plusieurs jours ? Combien coûte l’indisponibilité d’un matériel loué pour cause de connexion retardée ? Combien coûte le temps perdu par les utilisateurs à s’auto-former sur des matériels dont ils n’utiliseront que 10 % des fonctionnalités ? Combien coûte le temps passé par vos équipes à trouver une place temporaire pour les matériels à jeter ou à faire reprendre ?

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Chef d’entreprise magazine publie en Mai un article  intitulé « Réduisez de 30% vos coûts d’impression » (vous pouvez le lire intégralement en cliquant sur le titre).  Parmi les avis d’experts donnés dans cet article, vous trouverez…l’avis d’Isabelle Obiols, consultante-experte indépendante, rédactrice de ce blog.

L’article est structuré en 4 parties :

  • Définissez les coûts à réduire
  • Réalisez un audit de votre parc
  • Harmonisez votre parc d’impression
  • Changez vos habitudes

Bien sûr en 2 pages, il n’entre pas dans les détails d’un projet d’optimisation des outils d’impression mais il donne les principales pistes de réflexion.

Heureusement pour moi, les experts de Epson et HP disent la même chose que moi sauf, peut-être, sur la pertinence de faire appel à un intervenant extérieur pour l’audit…

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TCO : qu’est-ce que c’est ?

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TCO : Total Cost of Ownership ou coût total de possession. Ce terme est très employé en matière de coûts d’impression, peu défini.

Le concept de TCO a été développé par le Gartner Group en 1998. A l’époque, il s’agissait de permettre aux entreprises de mesurer le coût réel de leur parc de micro-ordinateurs. La méthode a depuis été appliquée pour calculer des coûts plus complexes : call centers, entrepôts de données ou encore solutions de CRM.  Pour une définition plus globale, on retiendra que le TCO est la somme des coûts directs et indirects liés à l’acquisition, l’utilisation et la maintenance du capital de technologie d’information tout au long de sa durée de vie. Le TCO distingue ainsi les coûts de déploiement initial et les coûts d’utilisation récurrents, incluant la maintenance et l’administration des outils, bien sûr, mais aussi la formation des utilisateurs finaux. Outre son analyse en profondeur de l’activité, l’autre grand apport du TCO est d’apprécier les coûts dans le temps : une dimension essentielle pour évaluer des choix économiques à long terme !

En utilisant cette méthode, le Gartner Group a estimé la ventilation des coûts sur 5 ans d’une solution informatique décisionnelle : 13 % pour le matériel, 19 % pour les logiciels, 29 % de coûts de mise en place et 39 % de coûts de support et d’infrastructure (les deux derniers étant exprimés en jours / hommes). « Le coût du logiciel est l’arbre qui cache la forêt ! commente Jack Voileau, Directeur du développement des Solutions pour les ERP chez SAS France. Dans le temps, le principal enjeu pour les entreprises est de maîtriser les coûts de formation et de support », poursuit-il.

Ces constats pour les systèmes d’informatique décisionnelle peuvent tout à fait être transposés aux systèmes d’impression : le principal enjeu pour les organisations est l’accompagnement des utilisateurs vers des pratiques d’impression plus économes et plus durables  et le support pour un parc fiable, évolutif et rationnel.

Aujourd’hui, le calcul de TCO pour les solutions d’impression intègrent l’acquisition du matériel, des consommables, les frais financiers, les contrats de maintenance, les interventions facturables. Il est encore difficile de mener un projet de rationalisation en intégrant les coûts de non  disponibilité du matériel, de gestion de stock des consommables et des matériels, de contrôle de factures, de mésusage des matériels. Les responsables des parcs d’outils d’impression pensent qu’il s’agit d’une méthode pour gonfler les coûts initiaux et mettre en avant de plus grandes économies. Pourtant, ces coûts indirects sont bien réels et non négligeables.

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Les entreprises européennes peuvent mieux faire en matière de recyclage

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Les employés auraient-ils la fibre plus verte que leur entreprise ? Oui selon une enquête réalisée par Lexmark qui révèle que la majorité des collaborateurs pense que leur entreprise peut encore faire des progrès en matière de recyclage. Parmi les 619 employés européens sondés par Lexmark dans onze pays en mars 2011, 70 % ont déclaré que leur entreprise recyclait le papier. Plus de la moitié (57 %) recycle les cartouches d’imprimantes et plus d’un tiers récupère le plastique, le verre ou les appareils électroniques. Toutefois, malgré ces chiffres encourageants, 86 % des personnes interrogées pensent que leur société pourrait recycler encore davantage.

Même si le recyclage est assez généralisé dans les entreprises, une personne sur dix affirme que sa société ne récupère rien du tout. Plus d’un tiers de ces personnes (34 %) souligne qu’il n’y a pas de politique de recyclage mis en place sur leur lieu de travail. D’autres encore (21 %) disent que recycler est trop compliqué, trop cher, que cela prend trop de temps ou trop de place.

En revanche ceux qui recyclent ont un discours clair sur les atouts de la démarche. Plus des deux tiers (68 %) affirment que leur entreprise fait cela pour contribuer à la sauvegarde de l’environnement, et beaucoup identifient d’autres avantages pour l’entreprise en général : faire des économies (27 %), réduire son empreinte carbone (25 %), motiver le personnel (21 %) et améliorer l’image de l’entreprise (21 %).

« Il est rassurant de constater que beaucoup d’entreprises recyclent et sont conscientes du double avantage environnemental et économique dont elles peuvent bénéficier grâce à cette activité », déclare Etienne Maraval, directeur marketing et communication de Lexmark France. « Cependant, il est clair que des améliorations pourraient encore être appliquées. Il est donc important pour les entreprises de faciliter le recyclage au travail.

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Le contrat coût à la page

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Promu par les fabricants de copieurs puis par les constructeurs d’imprimantes, le fameux contrat de coût à la page est devenu Le modèle économique sur lequel se construit la majorité des politiques d’impression. Il couvre aujourd’hui toutes les typologies d’entreprises qui souhaitent globaliser leurs coûts de fonctionnement. Matériel, consommables, maintenance, le service de facturation à la page fédère toutes les charges pesant sur des imprimantes ou des copieurs. Un principe en apparence simple. On peut en effet le voir comme un forfait « tout compris », identique à ce que l’on trouve dans le monde de la téléphonie ou de l’automobile. La formule rassure bon nombre d’entreprises qui n’ont plus qu’à s’acquitter d’une facture mensuelle ou trimestrielle pour accéder à une infrastructure d’impression, en gardant le choix d’acheter ou de louer l’équipement.

Attention cependant à  la volumétrie inadaptée qui plombe le contrat, le matériel surdimensionné qui fait grimper le TCO (coût total de possession) ou encore les mauvais choix de financement qui asphyxient la trésorerie … des écueils existent mais le contrat de coût à la page n’est que la somme de compromis, une négociation où chaque partie doit trouver son intérêt.

« Le contrat coût à la page séduit désormais tous types de PME, y compris celles de moins de 10 employés », constate Daniel Mathieu, directeur du marketing, de la communication et du développement durable de Konica Minolta Business Solutions France. « Selon une dernière étude sur l’impression menée par GFK, 17,5% des entreprises ont déjà souscrit à un contrat coût à la page. Elles souscrivent même de plus en plus fréquemment à un tel contrat pour les imprimantes.

Source : Printnews

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