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Conseils pour réduire vos coûts d'impression

La guerre écolo des supports

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L’industrie papetière est présentée régulièrement comme un secteur polluant, nuisible pour nos forêts et pour l’environnement.Alors depuis quelques années on présente l’électronique et les clés USB comme économiseurs de feuilles. Mais ces nouvelles technologies sont-elles si propres ? Qui présente le meilleur Bilan Carbone ?

Il y a des évidences : pour fabriquer du papier, il faut couper des arbres ! Le processus industriel est assez lourd et la consommation en énergie n’est pas négligeable.
On pourrait penser que le Bilan Carbone de l’électronique est nul, mais pour l’expédition ou le stockage des documents, il est nécessaire de construire des centres de données climatisés pour stocker les serveurs. La conception des clés USB nécessite du pétrole (plastique) et des cartes électroniques. Il faut également des équipements (ordinateurs) pour les expédier et les lire.
Le papier est un produit biodégradable et recyclable à souhaits, sous réserve que les consommateurs fassent le tri en suivant correctement les filières mises en place.
Contrairement au papier, les jouets ou les maisons en bois ont la faveur du public et sont présentés comme des produits écologiques. Pourtant, ils sont tous issus du même endroit : la forêt ! Quelles que soient les filières utilisant le bois, l’important est bien la gestion des forêts en évitant par exemple des coupes illicites tout en garantissant le maintien de la biodiversité. Plusieurs certifications ont été mises en place afin de guider les consommateurs : PEFC, FSC, NF Environnement.
Nous ne pouvons pas en dire autant de l’électronique. Pourtant, nous sommes souvent sollicités par nos institutions (banques, téléphone, énergies) pour passer du courrier postal au courriel, sous prétexte de faire un geste en faveur de l’écologie. Soit dit en passant, bien que cela fasse faire des économies substantielles aux banques (impression, mise sous pli, frais d’expéditions…), cela est rarement accompagné par une réductions de nos abonnements…
Mais que l’on ne se trompe pas, l’électronique présente notamment ces avantages : il est plus agréable de se promener avec un clé USB que 5 kilos de papier sous le bras et vive le gain de place dans les locaux d’archivage après la numérisation des documents. De plus, il est possible de de ré-écrire plusieurs fois sur les supports électroniques.
Nous voyons bien qu’en fonction des besoins, le papier et l’électronique ont leur place dans notre vie quotidienne. Comme beaucoup de choses, ces produits sont complémentaires avec leurs avantages et inconvénients.
Source : carbone 11

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Le développement durable dans les « activités de bureau ».

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Sur la base d’une enquête menée auprès de 1 700 entreprises franciliennes de moins de 250 salariés, le
CROCIS publie huit études sectorielles permettant de mieux appréhender les enjeux du développement
durable dans des secteurs phares pour la région, et d’évaluer leurs avancées ou blocages dans ce
processus.
Il apparaît globalement que les PME se trouvent à une période charnière de leur développement, entre une
prise de conscience désormais aboutie et une volonté d’action souvent difficile à mettre en oeuvre.
Les “activités de bureau” regroupent des activités principalement liées aux services fournis aux entreprises, ainsi
que les activités immobilières et les activités informatiques. Ce regroupement se justifie par les caractéristiques
communes que présentent ces PME en termes de prise en compte du développement durable : problématique
prégnante liée aux ressources humaines, achats massifs d’équipements et de consommables, consommations
d’énergies,….

Globalement, il apparaît que ces activités prennent encore peu en compte le développement durable, souvent par manque d’intérêt de la part des chefs d’entreprise, qui considèrent le plus souvent qu’ils ne sont pas concernés. Les enjeux en termes de développement durable sont pourtant forts pour ces PME, dont le poids est particulièrement important en Ile-de-France. Néanmoins, conscients des enjeux liés au développement durable, notamment suite à la tenue du Grenelle de l’environnement, un tiers des dirigeants de PME le considèrent comme un atout sur le plan économique. Mais cette prise de conscience demeure semble-t-il, superficielle puisque les dirigeants interrogés parviennent difficilement à définir en quels termes le développement durable pourrait concrètement être bénéfique pour leur activité.
Il apparaît que les chefs d’entreprise de ce secteur manquent en premier lieu d’une information concrète, ciblée sur leur domaine d’activité, qui leur permettrait d’avoir une vision claire de l’application du développement durable dans leur organisation.
Ainsi, à la question « De quel type d’appui pensez-vous avoir besoin ? », 65 % des dirigeants interrogés réclament plus
d’information sur les opportunités liées au développement durable.

Par ailleurs, la faible implication des PME de ce secteur est confirmée par le manque de moyens mis en place pour appliquer le développement durable. Les chefs d’entreprise sont notamment 27 % à affirmer ne disposer d’aucun moyen spécifique (contre 23 % pour l’ensemble des PME), alors que seulement 8 % d’entre eux déclare bénéficier d’un budget spécifique (contre 15 % pour
l’ensemble).
Enfin, moins d’1/5ème des dirigeants déclarent rencontrer des freins, et la même proportion estime avoir besoin d’un appui dans
l’application du développement durable. Ces faibles pourcentages révèlent un réel manque d’intérêt de la part des chefs d’entreprise. Très peu impliqués, ils ne sont pas encore conscients ni des obstacles qu’ils pourraient rencontrer dans leur démarche, ni
des appuis que ceux-ci pourraient nécessiter.

Source CROCIS

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7 bonnes raisons pour imprimer mieux grâce à ASSPI

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Des économies immédiates

Les pratiques enseignées amènent une diminution de 10 à 20% des volumes imprimés et donc du budget d’impression.

Un projet fédérateur

Cette formation peut être le déclencheur d’une démarche de développement durable ou s’intègre dans votre politique environnementale. L’adhésion de vos collaborateurs est généralement acquise et peut être capitalisée pour d’autres projets.

Votre budget formation

ASSPI est centre de formation agréé. Ses prestations entrent donc dans vos contributions obligatoires au titre de la formation continue.

Vos collaborateurs

Il n’est pas nécessaire d’avoir de connaissances techniques ou informatiques particulières, cette formation s’adresse à l’ensemble de vos collaborateurs. Afin de garantir une meilleure écoute et interaction entre vos collaborateurs et nos formateurs, le nombre de personnes est de 6 par session.

Une durée optimisée

Le temps de la formation (1/2 journée) est prévu pour permettre à vos collaborateurs de mettre les conseils en pratique dans leur quotidien. Vous gagnez du temps car nous venons former vos collaborateurs dans vos locaux et sur leurs matériels d’impression.

Contenu de la formation

  • Utilisation des matériels : impression recto-verso, scans optimisés, mode économique…
  • Pratiques : favoriser la lecture à l’écran, l’impression en N&B, la gestion numérique des mails…
  • Astuces : polices les plus économiques, vider complètement les cartouches…

Suivi des stagiaires

Vos collaborateurs peuvent poser leurs questions ou évoquer leurs difficultés auprès de leur formateur pendant un mois après la formation. A la fin de cette assistance, nous leur adressons un mail de rappel des consignes et un questionnaire sur leur mise en pratique.

Contact : Isabelle OBIOLS

Par mail : iobiols@asspi.fr ou par téléphone 06 81 02 89 74

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Former vos collaborateurs aux bonnes pratiques d’impression

Pourquoi doit-on optimiser les impressions ?

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L’impression est plus que jamais un maillon clé d’une politique green IT. Consommatrice de ressources diverses, la stratégie d’’impression doit être repensée en profondeur. Afin de mieux comprendre en quoi elle peut représenter une source de gaspillage importante, il est utile de cartographier son impact à plusieurs niveaux.

Impact des impressions en entreprise :

  • La consommation de papier : Les salariés français utilisent en moyenne 75 kg de papier par an (SNESSI, été 2009).
  • La consommation énergétique : même en veille, le matériel consomme. Les imprimantes fonctionnent toute la journée pour quelques impressions.
  • L’utilisation de matières non renouvelables et polluantes contenues dans les cartouches d’encre, les toners et le matériel d’impression en général.

La multiplication des périphériques qui permettent d’imprimer a entraîné des stratégies de mutualisation de matériel. Mutualiser les périphériques a permis de diminuer l’achat de matériel, certes, mais a entraîné une hausse des déchets.

En France, en 2009, 18 milliards d’euros environ ont été dépensés par les entreprises pour l’impression.  Au total, les analystes du Gartner estiment à 200 milliards le nombre de pages imprimées en France par an, dont 32 milliards d’impressions inutiles… Des chiffres dramatiquement élevés. Cela équivaut à plus de 400 millions d’euros de gaspillage.

Pourtant, les bonnes pratiques sont largement diffusées au sein des entreprises, sur Internet et dans les documents de communication des grands fabricants de matériel. Elles sont assez simples quand il s’agit de réduire la consommation de papier mais plus complexes pour les autres domaines.

Il est donc important de continuer à accompagner les entreprises dans leur politique de rationalisation des impressions en les aidant tout au long de leur projet. Une démarche globale doit donc être déployée : bilan carbone des impressions, audit des habitudes d’impression (basé sur les usages), préconisations, accompagnement au changement, aide à l’achat de matériel, intégration d’un logiciel d’audit, de suivi et de pilotage des impressions. Autant d’éléments qu’il est important de prendre en compte pour déployer une politique de gestion d’impression efficace.

Il est alors possible de répondre aux différentes problématiques posées par les impressions dans une entreprise et d’agir sur les leviers suivants : la consommation de papier, les utilisateurs et l’achat de matériel. Les objectifs sont simples : analyser les habitudes d’impression pour diminuer les impressions inutiles, apprendre à imprimer mieux, réduire la consommation de papier et la consommation énergétique et enfin rationaliser le matériel.

Source : Printnews

10 pratiques d’impression économes et durables

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Consommation de papier des grandes entreprises françaises

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Plusieurs associations, dont le WWF, ont passé au crible la consommation en papier de 50 grandes entreprises françaises.Et le constat est édifiant : un employé consomme entre 70 et 85 kg par an – c’est trois fois la moyenne mondiale.

L’écart, s’il se resserre par rapport à la moyenne européenne, n’en existe pas moins, avec 167,2 kg/hab de papiers et cartons consommés en France, contre 134,1 en Europe en 2008.

N’en jetez plus ! Seulement 20% des papiers issus des bureaux sont recyclés. Si l’Etat a fixé des objectifs dans le Grenelle de l’Environnement d’ici 2012 – comme celui de n’utiliser plus que du papier recyclé-, cette étude se penche sur les pratiques de nos grandes entreprises. Celles du Cac 40, mais aussi les partenaires des ONG comme le WWF qui se retrouvent, hasard ou pas, dans la tête du classement.

Déforestation abusive, surconsommation d’eau et d’énergie, pollution ou encore production excessive de déchets : les maux environnementaux liés au papier sont importants. Pourtant, « A quelques exceptions près, la majorité n’est pas à la hauteur des enjeux environnementaux posés par le papier et a encore beaucoup de progrès à faire », constatent le WWF-France, Riposte Verte, Les Amis du Vent et 100% recyclé 100% engagé.

Ces ONG notent que seules neuf (L’Oréal, Axa, La Poste, Carrefour, France Télécom, PPR, Michelin, Danone, Castorama) des 50 entreprises interrogées se sont réellement engagées à réduire leur consommation ; elles utilisent au moins 50% de papier recyclé ou doté d’un label indiquant qu’il a été extrait d’une forêt protégée, et ont instauré un tri au siège et sur l’ensemble des sites français. “Même si une majorité des entreprises a déjà mis en place au moins une action concernant le papier, ces actions restent trop ponctuelles”, regrettent les ONG, qui entendent élargir cette enquête aux collectivités.

Parmi les mauvais élèves du classement (Leclerc, EADS, Suez Environnement, Véolia Environnement, Vinci, etc), certaines entreprises reconnaissent ne pas avoir eu le temps ou ne pas avoir voulu répondre aux questions des ONG. L’étude est donc basée sur les informations des rapports développement durable de ces sociétés. Des rapports qui ne relatent pas toujours la politique papier des ces entreprises.

France Info et Le Monde. Septembre 2010

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Enquête Riposte Verte sur la politique papier

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Cette étude a pour but d’évaluer les politiques papier de 50 grandes entreprises françaises et plus particulièrement l’évolution de leur consommation de papier, la proportion de papier responsable qu’elles utilisent et les actions qu’elles ont mises en place pour en maximiser le recyclage.
Les 50 entreprises sélectionnées sont :
– les entreprises du CAC 40,
– les grands distributeurs,
– certaines entreprises partenaires du WWF.

Le papier est un support de communication issu de ressources renouvelables. Il tient toujours dans la vie culturelle de l’Homme une place importante.
Sans garanties, il peut avoir des impacts négatifs sur l’environnement tels que la pression sur les forêts, l’émission de pollutions chimiques et atmosphériques ainsi que la production de grandes quantités de déchets non valorisés.
Au même titre que d’autres secteurs, il faut donc développer une politique responsable d’utilisation de ce produit pour réduire son impact sur l’environnement.

La consommation de papier et carton en France est de 9,5 millions de tonnes. En 2009, cette consommation a baissé de près de 10%. Au-delà des raisons économiques, cette tendance traduit un début de prise de conscience et une généralisation progressive des éco-gestes en France.
Pourtant au bureau :
un employé produit toujours environ 80kg2 de papier par an,
65 % des employés considèrent que l’on imprime du papier inutilement,
– en moyenne, 14 % des impressions ne sont jamais lues.

3 domaines d’action :

  • Consommation : Consommer le papier de manière plus raisonnée permet de réduire son empreinte sur l’environnement
  • Achat : Utiliser 100 % de papier responsable évite d’ajouter une pression supplémentaire sur les ressources forestières
  • Recyclage : Recycler son papier permet de diminuer son impact sur l’environnement et participe à la production de nouveaux papiers

L’évaluation PAP50 révèle que, même si quelques entreprises en France développent une politique papier qui va dans le bon sens, la majorité ne sont pas à la hauteur des enjeux environnementaux posés par le papier et ont encore beaucoup d’efforts à faire.
Ces entreprises consommatrices d’importants volumes de papier ont la responsabilité de généraliser les bonnes pratiques afin de faire passer la note moyenne de l’étude de 43 sur 100, pour les entreprises ayant répondu, à 94 sur 100 qui représente la compilation des meilleures actions papier, et ainsi minimiser l’impact négatif de ce secteur papier sur l’environnement.

Les recommandations :

  • Consommation : afin de maîtriser la consommation à usage interne, il est nécessaire de continuer à systématiser l’ensemble des éco-gestes existants pour réduire la consommation de papier au quotidien, à travers des outils de sensibilisation et la mise en place de moyens efficaces pour contrôler la surconsommation.
  • Achat responsable : une politique d’achat de papier non responsable peut avoir des impacts sur l’environnement tout au long du procédé de fabrication du papier. De ce fait, les entreprises sont invitées à se tourner vers du papier 100 % recyclé ou certifié FSC en priorité, les seuls à offrir de solides garanties environnementales sur l’origine du papier. Un très faible nombre d’entreprises utilise en majorité du papier recyclé. Pourtant l’offre de papier recyclé se développe, sa qualité et sa blancheur sont identiques à celle d’un papier issu de fibres vierges. La généralisation des impressions responsables à tous les documents et pas seulement aux documents relatifs au développement durable est nécessaire.
  • Recyclage : il existe un vaste ensemble de solutions pour recycler le papier dans l’entreprise. Celles ne l’ayant pas déjà fait sont invitées à rapidement mettre en place des systèmes de valorisation, afin de donner la possibilité aux employés de participer au recyclage de l’ensemble de leurs papiers.  Instaurer un système de cercle vertueux de recyclage du papier, distribuer la même quantité de papier avec fibres recyclées que la quantité de papier récupérée, afin de sensibiliser aux intérêts du recyclage pour ainsi atteindre et maintenir un taux de recyclage de 100%.

Etude Konica Minolta sur l’impression éco-responsable

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Konica Minolta présente les résultats d’une étude menée auprès d’environ 500 de ses clients, au mois de juin 2010, sur leur comportement en matière d’impression responsable. L’étude du constructeur japonais révèle que les PME interrogées (des structures allant de 6 à 500 salariés) ont majoritairement (81%) adopté des éco-gestes visant à réduire leur consommation de papier, d’encre et d’énergie et qu’elles apportent une attention particulière au tri ainsi qu’au recyclage du papier et des consommables.

Ces mesures spécifiques se traduisent par l’impression obligatoire en mode recto/verso (61%), par la limitation du nombre d’impressions par salarié (15%) et  par la formation des salariés pour une meilleure utilisation des systèmes d’impression (12%). En revanche, les entreprises interrogées sont 29% à n’avoir pu changer leurs habitudes d’impression principalement par manque de temps.

Autres données, 93% limitent leur consommation de papier : non impression des emails (39%), ou bien encore en utilisant le verso des feuilles imprimées (26%). Mais les éco-gestes plus complexes tels que l’utilisation du raccourci impression pour les pages web (3%), ou le paramétrage par l’utilisateur des pages web (1%) à imprimer sont rarement utilisés.

78% sont vigilantes quant à leur consommation d’encre : l’impression en noir & blanc des documents à relire est majoritairement plébiscitée (56%), vient ensuite le choix de la numérisation des documents (17%), puis l’utilisation du mode éco (14%) et du mode brouillon (13%).

Pour 58%, le papier est trié et orienté vers des filières de valorisation du papier. Néanmoins, l’utilisation du papier recyclé est loin de faire l’unanimité puisque 73% ne veulent pas payer plus pour un papier 100% recyclé.

Le recyclage des cartouches d’encre est également presque systématique (83%). Dans la majorité des cas (62%), les PME font appel à une société de collecte des consommables usagés. 31% renvoient par la poste les cartouches usagées au fabricant.

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Changer les pratiques d’impression

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Il ne suffit pas d’élaborer une charte, de définir des commandements et surtout pas de vouloir les faire appliquer de force. Charte de bonnes pratiques ou liste de commandements, les politiques de responsabilisation des utilisateurs passent d’abord par la pédagogie.

Le terrain doit être préparé pour cela.  Sans idée de ce que vous coûte l’impression ni de son volume, il est impossible de fixer un objectif d’économie à la fois ambitieux et réaliste. Cette démarche débute  par une mise à plat de votre fonctionnement , de vos usages et de vos spécificités métiers avant d’analyser et quantifier le gaspillage. A partir des données recueillies, ASSPI bâtit une charte tenant compte des aspects financiers et fonctionnels. Les mesures proposées sont validées et soutenues par vous. Dans les bureaux, il peut ainsi être nécessaire de rappeler les comportements éthiques à travers des posters ou via les pages Web d’un Intranet, de valoriser les meilleurs contributeurs au projet (champions) avant d’obtenir l’adhésion complète des collaborateurs. Parmi les gestes simples mis en avant, il y a, par exemple, l’utilisation de la prévisualisation avant de lancer l’impression, l’impression en mode recto verso des documents à usage externe dès que cela est possible et systématiquement pour ceux à usage interne, l’impression en mode brouillon, le bannissement de l’impression des e-mails ou encore l’utilisation des modes d’économie d’énergie et des supports recyclés.

Les clés du succès de notre démarche reposent sur la mise en avant des aspects économiques. En effet, les utilisateurs ne sont certes pas des experts de l’impression mais ils ont une connaissance des coûts, ne serait-ce que ceux des consommables qu’ils achètent en tant que particuliers pour alimenter leur imprimante personnelle. Et même si, une fois au bureau, ils ont  une fâcheuse tendance  à oublier ce point précis, ces utilisateurs seront toujours sensibles à une problématique économique reposant sur des faits. Avant de dire « on imprime trop en couleur », mieux vaut savoir s’il s’agit de documents à usage interne ou externe, de mails, de pages Web ou de documents de travail, par exemple. A travers des éléments concrets, la prise de conscience se fait plus naturellement et empêche le plus souvent l’apparition de freins ou de réticences.

L’autre particularité de l’accompagnement par ASSPI est la mise en avant des aspects écologiques à travers une communication, un accompagnement pédagogique et de l’information concrète. Chacun de nous à titre personnel est sensibilisé aux aspects environnementaux et adhère donc plus facilement à une démarche de développement durable dont il est acteur.

Communication positive et concrète, participation active, formation sur mesure, en s’appuyant sur ces trois piliers , ASSPI réduit la plupart des facteurs de rejet et met ainsi de votre côté tous les atouts pour que votre projet d’optimisation soit une totale réussite.

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Les labels Bureau Vert

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Comment reconnaître les produits qui minimisent leurs impacts sur l’environnement tout en conservant leurs performances ?

Un premier réflexe : lire les étiquettes. Les déclarations environnementales peuvent vous aider :

  • Le label Energy Star décerné au matériel informatique, y compris les périphériques, et les photocopieurs garantit des appareils économes en énergie. Les appareils qui ont ce label peuvent passer automatiquement en mode veille lorsqu’ils ne sont pas effectivement utilisés, ce qui permet d’importantes économies d’énergie.
  • Le label TCO décerné au matériel informatique garantit que le produit  est ergonomique et que le processus de fabrication intègre des aspects environnementaux, par exemple les matériaux doivent être facilement triés et recyclés. Le produit doit également répondre à des exigences d’économie d’énergie et d’émission d’ondes électromagnétiques.
  • Le label FSC est décerné notamment au papier et garantit une gestion durable des forêts dont le bois est issu.
  • L’écolabel européen est décerné à un périmètre assez large de produits et permet de garantir un cycle de vie écologique du produit.Exemples : produits d’entretien, ampoules basse consommation…

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