ASSPI

Conseils pour réduire vos coûts d'impression

Méthodologie de l’audit

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Afin de faciliter la mise en œuvre et le suivi de la prestation d’audit, ASSPI la découpe  en étapes et en phases, pour chacune desquelles seront évalués les moyens nécessaires et le planning prévisionnel :

– ETAPE 1 Recensement de l’existant : recueillir toutes les données du parc existant par inventaire physique, compilation des données financières et interviews des utilisateurs.

  • Phase 0 Entretien préparatoire.
  • Phase 1 Collecte des données.

– ETAPE 2 Analyse de l’existant et élaboration conjointe des objectifs à atteindre : permet de définir  une politique d’impression ambitieuse mais que chacun peut s’approprier et appliquer.

  • Phase 2 Traitement et Analyse des données.
  • Phase 3 Entretien de validation.

– ETAPE 3 Préconisations : définissent les caractéristiques techniques des matériels à venir, leur implantation, les  modes opératoires autour du futur parc. Elles permettent également de définir un budget prévisionnel et donc des  économies réalisables.

  • Phase 4 Préconisations techniques.
  • Phase 5 Simulations financières.
  • Phase 6 Entretien de présentation.

Les livrables qui restituent l’ensemble de l’étude sont :

  • Le rapport d’audit présente les données exhaustives de l’inventaire, le compte-rendu des entretiens utilisateurs, les objectifs de l’optimisation du parc, les préconisations techniques.
  • Le rapport financier fournit toutes les données budgétaires du parc existant, leur analyse ainsi que les simulations financières issues des préconisations. La nature des données budgétaires présentées (par matériel, par technologie, par site, globales…) est définie conjointement lors de l’entretien de validation.
  • Les plans (cartographie) avant-après fournissent les plans de l’implantation actuelle et les  plans des organisations préconisées.
  • La synthèse est un résumé de tous les documents précédents. Elle présente l’état des lieux synthétique du parc actuel et les préconisations. Elle présente également  la feuille de route des actions suivant l’audit préalable.

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Accompagner après les changements

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Après les changements, il s’agit de persuader et de faire participer activement les utilisateurs aux changements.

Il s’agit également d’être réactifs et de pouvoir mettre en place d’éventuelles actions correctrices le plus vite possible.

Nous préconisons des interventions en 3 temps :

Un mois après la mise en place des nouveaux matériels,   une première action sera mise en place :

  • Pour informer chacun de l’avancement du projet
  • Pour mesurer l’efficacité des formations   d’utilisation.
  • Pour identifier les éventuels points de blocage.

Cette action peut prendre diverses formes : réunions,   questionnaires, forums…

Un trimestre plus tard, une seconde action aura pour   objectif de favoriser les échanges et d’encourager l’expression des difficultés entre « les champions ». Il s’agira de les réunir pour les repositionner dans leur rôle de porteurs du projet et pour définir avec eux un plan d’amélioration.

Un trimestre plus tard, une troisième action sera prévue :

  • Pour informer chacun des résultats obtenus   (réussites et points à améliorer).
  • Pour mesurer la satisfaction des utilisateurs.

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Accompagner avant les changements

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Avant les changements, il s’agit d’informer et d’expliquer le projet aux utilisateurs.

Je préconise une communication en 2 temps :

A tous les collaborateurs (Web, réunions, …), 30   jours environ avant les premières mises en place du  nouveau parc :

  • Qu’est ce que le projet.
  • Les objectifs définitifs du projet.
  • Les bénéfices collectifs et individuels
  • Le ou les prestataires retenus.
  • Les phases de mise en œuvre.

A tous les collaborateurs d’un même site 15 jours avant la mise en place (Web, mémos, Kits d’affichage…) :

  • Sensibilisation aux objectifs
  • Dates officielles du déploiement
  • Information sur les formations à l’utilisation des   matériels
  • Coordonnées d’un correspondant local qui aura été choisi et positionné comme « champion » du projet.

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Accompagnement au changement

Enquête IPSOS sur les comportements en matière d’impression

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1 juin 2010 – L’enquête internationale réalisée par Ipsos pour le compte de Lexmark auprès de 6600 salariés de dix pays européens et des Emirats Arabes Unis fait le point sur les comportements des salariés en matière d’impression. L’étude montre que le nombre de pages imprimées par salarié ne diminue pas ; le gaspillage papier est même plus important que jamais.

  • Le nombre de pages imprimées reste élevé : en moyenne, 31 pages par jour et par salarié. La France est sous la moyenne européenne avec 28 pages imprimées par jour et par salarié.
  • Le nombre de pages imprimées inutilement par jour est en hausse depuis 2007, passant de 6 à 7 pages par salarié…
  • … alors qu’il diminue en France, passant de 5 à 4 pages.
  • Plus l’entreprise est grande, plus la consommation de papier est élevée.
  • Plus de la moitié des personnes interrogées (53%) pense que l’on gaspille encore trop de papier dans leur entreprise.
  • Moins d’1 personne sur 4 (23% des personnes sondées) reconnaît cependant participer à ce gaspillage.

De même que dans la vague précédente, on relève que le taux d’impression moyen augmente en fonction de la taille de l’établissement dans lequel le salarié est employé : on imprime ainsi en moyenne 34 pages dans une entreprise de 500 personnes contre 26 dans une entreprise de moins de 10 personnes. Le service dans lequel on travaille apparaît également comme un facteur clivant. On imprime ainsi beaucoup plus dans les services liés à la logistique (48 pages par jour en moyenne) que dans les départements Recherche et études (22 pages).

Ce nombre élevé de pages imprimées continue d’impliquer un gaspillage important, l’impression d’une bonne partie de ces documents s’avérant au final toujours inutile.
Ainsi, sur l’ensemble des pages imprimées par les salariés interrogés, sept en moyenne ne donneront lieu à aucun usage. Par ailleurs, la comparaison des résultats obtenus en Europe lors de la vague 2007 avec ceux de cette nouvelle enquête montre que les quantités de documents imprimés de façon inutile tendent même à s’accroître légèrement. Le nombre total de pages imprimées quotidiennement par les salariés européens demeurant inchangé, sept pages sont aujourd’hui inutilisées contre six en 2007.

Comme en 2007, il s’avère par ailleurs que la prise de conscience de la nécessité d’une gestion responsable des impressions de papier reste encore limitée.
De fait, les salariés sont encore loin de remettre en question leur comportement individuel : seuls 22% des salariés interrogés estiment en effet qu’ils impriment trop de papier pour rien. En France 28% des salariés déclarent aujourd’hui trop imprimer (contre 30% en 2007).

Retrouver les résultats complets de l’enquête : http://www.ipsos.fr/CanalIpsos/articles/3099.asp

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