ASSPI

Conseils pour réduire vos coûts d'impression

Dites le nous une fois

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Un programme de simplification (« choc de simplification ») a été adopté lors du 3ème comité interministériel de modernisation de l’action publique (Cimap) le 17 juillet.

Le principe « Dites-le nous une fois » appliqué aux marchés publics

En matière de marchés publics, l’axe principal est de faciliter l’accès à la commande publique en réduisant la paperasse. Ainsi, « la constitution des dossiers de candidature pour les TPE et PME sera facilitée à partir du premier semestre 2014 .

De plus, les mesures de simplification prévues par les directives européennes marchés publics seront adaptées de façon accélérée dès début 2014. Ainsi les exigences des acheteurs publics relatives à la capacité financière des candidats seront limitées . De  même un certain nombre de justificatifs seront remplacés par des déclarations sur l’honneur. Enfin, mesure qui va largement faciliter la tâches de nombreux candidats, le titulaire pressenti sera dispensé de produire à nouveau un document fourni lors d’une précédente consultation et toujours valable, ainsi que les pièces accessibles gratuitement en ligne (URSSAF et impôts par exemple).

Des régions pilotes testeront la réutilisation des informations d’identité pour les aides publiques et les marchés publics d’ici fin 2014 dans le cadre du programme « Dites-le nous une fois ».

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L’étude porte sur un échantillon de 7 e-mails, tous au format HTML.
Cinq d’entre eux sont des courriers classiques dont l’un possède une pièce jointe (document Word d’environ 25 Ko).Les deux autres sont des lettres d’information (newsletters). L’une est relativement sobre. En revanche, la seconde utilise 331 Ko d’images dans la messagerie.

Au total, la taille moyenne d’un e-mail au format HTML (en comptant les pièces attachées) est de 81 Ko.

L’ensemble des courriels a ensuite été enregistré au format texte pour pouvoir comparer leur poids. Ils pèsent en moyenne 4 Ko sans pièce attachée et 7 Ko avec.

L’étude comparative de cet échantillon révèle que les courriels au format texte pèsent en moyenne 3 fois moins lourd que les courriels au format HTML si on ne tient pas compte des images associées. Dès que l’on considère l’ensemble des éléments, un e-mail au format texte pèse, en moyenne 12 fois moins lourd qu’un e-mail au format HTML, avec un écart allant de 2 à 37 selon le message.

Quelques bonnes pratiques basiques peuvent donc avoir un impact très important :
envoi des courriels au format texte,
pas de pièce attachée mais un lien pour la télécharger,
– si l’e-mail est au format HTML, ne pas joindre les images et feuilles de style, mais laisser l’option à l’utilisateur de les télécharger.

100 000 euros d’économies par an pour une grande entreprise …

A l’échelle de l’individu, les gains sont faibles, de l’ordre de 10 euros par utilisateur et par an. Mais à l’échelle d’une grande entreprise (10 000 salariés traitant 100 mails par jour), ils se chiffrent au bas mot à 17 To de données par an, soit une baie de stockage moyenne. L’économie financière potentielle se chiffre à environ 100 000 euros par an rien que pour le coût du stockage des courriels, et à 12 000 tonnes d’équivalent CO2 non émises, soit près d’une tonne par salarié.

Au delà des dimensions environnementales et économiques, le recours au format texte brut présente plusieurs autres avantages.
– Cela permet de décharger les réseaux mobiles qui saturent et les baies de stockage des opérateurs et des entreprises.
– L’utilisateur relève et envoie ses messages bien plus vite depuis son smartphone, même avec une connexion itinérante de mauvaise qualité.
– Cela élimine les risques de sécurité liés au format HTML.

Source : GreenIT.fr

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Une enquête Riposte Verte sur l’énergie

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Comme vous le savez, nous relayons fréquemment des informations en provenance de Riposte Verte. En effet, cette association agit  pour informer et accompagner les acteurs professionnels sur tous les volets d’une politique sociétale responsable (sociale, environnementale, économique, papier, carbone…). Leurs enquêtes et publications touchent donc souvent aux sujets qui nous occupent.

Cette fois, il s’agit du lancement d’une enquête sur les pratiques au bureau en matière d’énergie. Même si ce sujet ne concerne pas que l’impression, il doit être pris en compte dans les calculs de coûts liés aux parc de systèmes d’impression et dans les choix à faire en matière d’optimisation des outils et de leur usage.

Vous pouvez participer à l’enquête ici.

Les résultats ne manqueront pas de nous fournir de nouvelles pistes de réflexion.

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La dématérialisation des marchés publics vue par les entreprises

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La dématérialisation des marchés publics touche plusieurs aspects de ces procédures.

Ainsi, de très nombreuses entreprises consultent les annonces via Internet. De même, elles sont très nombreuses à consulter et obtenir les dossiers de consultation au format numérique. Ces pratiques en amont de la réponse largement adoptées par les entreprises quelle que soit leur taille prouvent leur intérêt pour la dématérialisation.

Par contre, quand il s’agit de déposer son offre et sa candidature, la dématérialisation est beaucoup moins répandue. Certes de nombreuses entreprises ont répondu au moins une fois via des plateformes de dématérialisation mais elles continuent à répondre au format au papier.

Deux des principaux freins évoqués sont l’hétérogénéité des plateformes et leur ergonomie. Ces 2 facteurs ajoutent en effet de la complexité à une procédure qui était déjà perçue comme complexe quand il s’agissait de constituer 2 enveloppes papier avec les bons documents.

Enfin, l’obtention d’un certificat électronique indispensable pour signer son offre est également perçue comme un frein. En effet, elle apparaît comme une procédure complexe pour laquelle les prestataires informent peu et qui demande du temps car les délais d’obtention sont longs.

Il reste donc fort à faire pour que les entreprises puissent réellement bénéficier des avantages de la dématérialisation des appels d’offres.

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Optimiser les services

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La standardisation et la consolidation des périphériques d’impression de l’entreprise constituent une solution courante et efficace pour réduire les coûts de maintenance et de consommation. Au fil des années, les entreprises accumulent des imprimantes laser, télécopieurs, et copieurs de divers modèles. Les remplacer par un nombre équilibré de modèles multifonctions efficaces est généralement une solution avec des économies de gestion conséquentes.

De nombreux projets d’optimisation de l’impression passent également par l’optimisation des services liés à la maintenance et aux consommables. Un moyen efficace de le faire consiste à externaliser une partie ou tous les services d’impression à des professionnels spécialisés, fournisseurs de services d’impression ou fournisseurs d’imprimantes et de multifonctions. Les services sont proposés selon différents modèles de contrat tels que la location financière assortie d’une maintenance à la page ou un« coût par page » global qui peuvent couvrir l’approvisionnement en consommables, la maintenance des matériels, le support d’aide en ligne – tous efficacement soutenus par des outils d’administration des imprimantes.

L’enjeu est bien de dimensionner les services aux besoins de la structure tout comme nous cherchons à dimensionner le parc de systèmes d’impression. En effet, certains de ces services (reportings, paramétrages standards,…) n’engendrent pas forcément de coûts supplémentaires et sont implémentés dans l’offre de base des prestataires. Mais d’autres services sont tarifés (paramétrages particuliers, gestion automatique des consommables, délais d’intervention hors normes,…) et il convient alors de comparer ce surcoût aux coûts internes (souvent cachés) qui y sont liés et à l’amélioration de la productivité du parc et du service rendu aux utilisateurs.

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Ces bonnes pratiques d’impression, corollaires des projets d’optimisation et des démarches de développement durable, sont souvent de l’ordre du vœu pieux ou de l’incantation.

En effet, quand des actions de sensibilisation sont menées elles sont très souvent inappropriées. L’affichage (54 %)  et l’envoi de courriels (43 %)  sont des solutions faciles et peu coûteuses mais largement insuffisantes. De plus, elles sont contradictoires avec le message délivré puisqu’elles incitent à imprimer un document destiné à inciter les utilisateurs à moins imprimer.

Et si au lieu de se positionner comme donneurs de leçons et de culpabiliser les utilisateurs, nous nous placions vraiment à leur côté pour les accompagner dans l’apprentissage du mieux imprimer ?

Les utilisateurs sont de plus en plus sensibles aux questions d’environnement à titre personnel. Ils ont d’ailleurs parfois du mal à appliquer les consignes de tri de leurs déchets car elles sont complexes et ne sont pas uniformes selon les territoires.

Ils aimeraient bien imprimer mieux et ne plus gaspiller de papier. Ils se rendent compte qu’ils pourraient mieux faire mais, comme pour les déchets, ils sont démunis face aux outils et aux consignes. Par exemple, certains utilisateurs ont depuis longtemps mis en place la récupération des documents imprimés au recto pour faire du brouillon. Mais cette pratique a 2 inconvénients : si le document est repassé dans le copieur pour être imprimé, il va générer des bourrages papier et l’encrassement de la machine ; si cette pratique n’est pas combinée avec d’autres, le stock de « papier brouillon » devient rapidement encombrant. L’utilisateur risque donc de se décourager et de retrouver ses anciens usages.

Nous devrions tout simplement l’accompagner dans l’utilisation du recto-verso. Cela ne veut pas juste dire paramétrer le recto-verso par défaut. Il convient de s’assurer que chacun maîtrise  le fonctionnement de cette fonctionnalité (et comment je fais pour imprimer des formats calendriers, ou des livrets ?), que chacun a identifié les documents qui peuvent et doivent être imprimés en recto-verso et ceux qui doivent rester en recto simple, que l’ensemble de l’organisation et de ses correspondants est sensibilisé à l’impact positif de l’impression recto-verso (le client ne verra peut-être aucun inconvénient à recevoir nos courriers en recto-verso, il suffit peut-être de lui en parler).

Et si les « Bonnes pratiques d’impression » devenaient les « trucs et astuces du mieux imprimer » ?…

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La rentrée des marchés publics

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De nombreuses mesures et orientations devraient intervenir dans le monde des marchés publics d’ici la fin de l’année.

Tout d’abord, en termes de publication, un guide sur l’achat public innovant devrait paraître prochainement et la publication des nouvelles directives européennes « Marchés publics » est envisagée pour la fin de l’année. En France, cela se traduira par un nouveau Code des marchés publics à l’horizon 2016.

Au niveau européen, les discussions sur un projet de norme européenne de facturation électronique devraient se poursuivre, dans le sens d’une généralisation de la dématérialisation dans les prochaines années, projet qui intéressera tout particulièrement ASSPI.

En France, 2 projets de loi sont attendus à court terme qui impacteront directement les pratiques en matière de marchés publics :
– le projet de loi  sur l’égalité entre les hommes et les femmes qui devrait permettre aux acheteurs publics de « tenir compte, pour l’attribution d’un marché, des conditions dans lesquelles les candidats favorisent la mixité dans les métiers et l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes » sans que ce critère soit considéré comme discriminatoire.
– le projet de loi relatif à l’économie sociale et solidaire, qui comprend notamment l’adoption d’un « schéma de promotion des achats publics socialement responsables ».

Enfin, dans la lignée au choc de simplification voulue par François Hollande, des mesures vont être prises :
– la limitation des exigences des acheteurs quant à la capacité financière des candidats
– la création de la procédure dite de ‘partenariat d’innovation‘ afin de favoriser l’innovation
– la modification des documents contractuels relatifs aux marchés publics de travaux
– la réduction des délais de paiement des marchés publics de travaux
– la simplification des dossiers de candidature pour les TPE et PME…

A suivre…

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Enquête Riposte Verte sur la politique papier (suite)

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En 2010 avec l’étude PAP50 Entreprises, Riposte Verte et le WWF-France évaluaient la politique papier des 50 plus grands groupes de France. Trois ans plus tard, l’édition 2013 permet de mesurer les progrès réalisés et de vérifier la tenue des engagements pris.

Les 50 entreprises notées sont :

les entreprises du CAC 40, les grands distributeurs, certains partenaires du WWF.

Si les résultats montrent une plus grande implication de ces entreprises et une amélioration de la note globale, Riposte Verte déplore tout de même un manque d’engagements publics, une consommation de papier responsable trop faible et une surconsommation de papier de communication externe (210 kg/salarié en moyenne).

Pour en savoir plus, vous pouvez télécharger l’étude : étude Riposte Verte 2013

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Si les résultats montrent une plus grande implication de ces entreprises et une amélioration de la note globale, nous déplorons tout de même un manque d’engagements publics, une consommation de papier responsable trop faible et une surconsommation de papier de communication externe (210 kg/salarié en moyenne). – See more at: http://www.riposteverte.com/etudes-pap50-entreprises#sthash.lEgF2MnA.dpuf
Si les résultats montrent une plus grande implication de ces entreprises et une amélioration de la note globale, nous déplorons tout de même un manque d’engagements publics, une consommation de papier responsable trop faible et une surconsommation de papier de communication externe (210 kg/salarié en moyenne). – See more at: http://www.riposteverte.com/etudes-pap50-entreprises#sthash.lEgF2MnA.dpuf

En 2010 avec l’étude PAP50 Entreprises, Riposte Verte et le WWF-France évaluaient la politique papier des 50 plus grands groupes de France. Trois ans plus tard, l’édition 2013 permet de mesurer les progrès réalisés et de vérifier la tenue des engagements pris.

Les 50 entreprises notées sont :

  • les entreprises du CAC 40 ;
  • les grands distributeurs ;
  • certains partenaires du WWF.

– See more at: http://www.riposteverte.com/etudes-pap50-entreprises#sthash.lEgF2MnA.dpuf

En 2010 avec l’étude PAP50 Entreprises, Riposte Verte et le WWF-France évaluaient la politique papier des 50 plus grands groupes de France. Trois ans plus tard, l’édition 2013 permet de mesurer les progrès réalisés et de vérifier la tenue des engagements pris.

Les 50 entreprises notées sont :

  • les entreprises du CAC 40 ;
  • les grands distributeurs ;
  • certains partenaires du WWF.

Étude 2013

Si les résultats montrent une plus grande implication de ces entreprises et une amélioration de la note globale, nous déplorons tout de même un manque d’engagements publics, une consommation de papier responsable trop faible et une surconsommation de papier de communication externe (210 kg/salarié en moyenne).

– See more at: http://www.riposteverte.com/etudes-pap50-entreprises#sthash.lEgF2MnA.dpuf

Accompagner l’optimisation

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Comme vous le savez, ASSPI est très attentive aux questions d’accompagnement des utilisateurs dans les projets d’optimisation. Nous vous proposons dans cet article quelques méthodes qui ont fait leurs preuves.

Pour conserver une certaine paix sociale, le pilote d’un projet d’optimisation des impressions peut laisser leurs imprimantes aux utilisateurs les plus récalcitrants. Mais il peut alors les informer qu’ils ne disposeront plus que d’une maintenance minimale. Cela est parfois contreproductif de forcer les utilisateurs. Certains ont besoin de temps pour accepter le changement.

Afin de motiver les services à moins imprimer, la Direction en charge des impressions (la DSI de plus en plus souvent) communique sur le coût des différents types d’impression. Pour orienter les choix des utilisateurs, elle peut aller jusqu’à refacturer les pages imprimées à chaque direction. En parallèle, elle se sera dotée d’outils de gestion dans le but de communiquer à chaque service l’état de sa consommation et les éventuelles dérives (ou succès) par rapport aux objectifs fixés.
Réduire les coûts d’impression, c’est modifier les habitudes.  Il est donc nécessaire de dire ce que l’on va faire, pourquoi on va le faire et la manière dont on va le faire. De nombreux utilisateurs découvrent leurs nouveaux outils d’impression (ou leur absence) lors de la livraison. On comprendra leur surprise et leur inquiétude…
Bien sûr, pour une bonne adhésion au projet, il faut aussi tenir compte des besoins des utilisateurs et de certaines contraintes. Les utilisateurs doivent être consultés ou, du moins, on doit leur donner la possibilité de s’exprimer avant que les modalités de l’optimisation ne soient arrêtées. Il faut veiller à n’oublier aucun service (même s’il est impossible d’entendre tout le monde) et à réellement prendre en compte l’expression des besoins, des craintes, des griefs et des enthousiasmes.

Clauses DD dans les marchés publics

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Nous ne cessons de le répéter : les achats publics représentent une vraie opportunité de développement pour les TPE et PME françaises. Pourtant ce sont précisément ces entreprises qui se laissent découragées par la complexité et le côté administratif de la rédaction des réponses aux appels d’offres publics.  Elles devraient au contraire profiter de leur implantation locale pour faire valoir leur savoir-faire, leur expertise, leur souplesse et se différencier des grands groupes. Cette mise en avant est encore plus efficace en cette période de crise, où l’état cherche à favoriser le développement de l’économie locale.

Depuis plusieurs années, l’évolution de la législation tend à donner de plus en plus de place au développement durable dans les critères d’attribution des marchés publics. Ainsi, depuis 2004, dans son article 5, le Code des marchés publics oblige tout acheteur public à se préoccuper du développement durable dans la définition de ses besoins. Par ailleurs, la loi Grenelle 1 du 3 août 2009 précise, dans son article 48, que “l’Etat favorisera le respect de l’environnement dans l’achat public par un recours croissant […] aux critères environnementaux et aux variantes environnementales”. Plus récemment, certaines dispositions sont venues renforcer cette tendance : ainsi,  l’Etat s’était fixé, pour 2010, l’objectif d’une “utilisation exclusive de papier éco-responsable”.

Face à ces impératifs de prise en compte du développement durable, les TPE et PME sont particulièrement bien placées pour mettre en avant leurs atouts. En France, la plupart des innovations réalisées en matière de produits écolabellisés sont le fait des PME. Par ailleurs, de nombreuses PME mettent en place des démarches de management environnemental, suivent des codes professionnels de bonne conduite (Imprim’vert, Garage propre…) ou appliquent des référentiels de qualité (ISO 14001…). Riche de leur implantation locale (circuits courts,  engagement social, insertion professionnelle…), elles ont tous les atouts pour faire valoir leur implication en matière d’enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux.

Les administrations rédactrices d’appels d’offres publics devront quant à elles réfléchir à la teneur de ses clauses de développement durable (encore faut-il qu’elles soient en rapport avec l’objet du marché) et à la mesure de des critères choisis.


Avec un volume de 120 à 150 milliards d’euros par an, représentant 10% du PIB, les achats publics représentent une vraie opportunité de développement pour les TPE et PME françaises. Souvent découragées par la complexité et le côté fastidieux de la rédaction des réponses aux appels d’offres publics, celles-ci devraient au contraire profiter de leur ancrage local pour faire valoir leur savoir-faire et leur expertise français et se différencier des grands groupes. Cette préoccupation est encore plus présente en cette période de crise, où l’Etat cherche à favoriser le développement de l’économie locale. – See more at: http://www.eco-jonction.com/pme-comment-gagner-des-marches-publics/#more-5300
Avec un volume de 120 à 150 milliards d’euros par an, représentant 10% du PIB, les achats publics représentent une vraie opportunité de développement pour les TPE et PME françaises. Souvent découragées par la complexité et le côté fastidieux de la rédaction des réponses aux appels d’offres publics, celles-ci devraient au contraire profiter de leur ancrage local pour faire valoir leur savoir-faire et leur expertise français et se différencier des grands groupes. Cette préoccupation est encore plus présente en cette période de crise, où l’Etat cherche à favoriser le développement de l’économie locale. – See more at: http://www.eco-jonction.com/pme-comment-gagner-des-marches-publics/#more-5300

Si, en France, 60% des marchés publics sont attribués à des PME et TPE (voir les chiffres), les petites et moyennes entreprises ne captent que 26% de la richesse créée par la demande publique, en valeur. Pour mettre en avant leur offre, le développement durable constitue un atout de poids pour les PME.

Avec un volume de 120 à 150 milliards d’euros par an, représentant 10% du PIB, les achats publics représentent une vraie opportunité de développement pour les TPE et PME françaises. Souvent découragées par la complexité et le côté fastidieux de la rédaction des réponses aux appels d’offres publics, celles-ci devraient au contraire profiter de leur ancrage local pour faire valoir leur savoir-faire et leur expertise français et se différencier des grands groupes. Cette préoccupation est encore plus présente en cette période de crise, où l’Etat cherche à favoriser le développement de l’économie locale.

Les critères “verts” de plus en plus pris en compte
Depuis plusieurs années, l’évolution de la législation vise à donner plus d’importance au développement durable dans les critères d’attribution des marchés publics. Ainsi, depuis 2004, dans son article 5, le Code des marchés publics oblige tout acheteur public à se préoccuper du développement durable dans la définition de ses besoins. Par ailleurs, la loi Grenelle 1 du 3 août 2009 précise, dans son article 48, que “l’Etat favorisera le respect de l’environnement dans l’achat public par un recours croissant […] aux critères environnementaux et aux variantes environnementales”. Plus récemment, certaines dispositions sont venues renforcer cette tendance : ainsi, le Code des marchés publics impose, depuis 2011, des “performances en matière de développement des approvisionnements directs de produits de l’agriculture”. Et l’Etat s’était fixé, pour 2010, l’objectif d’une “utilisation exclusive de papier éco-responsable”.

Fabrication française, ISO 14001 : les PME, moteurs du développement durable
Face à ces impératifs de prise en compte du développement durable, les TPE et PME sont particulièrement bien placées pour mettre en avant ces atouts. En France, la plupart des innovations réalisées en matière de produits écolabellisés sont le fait des PME. Par ailleurs, de nombreuses PME mettent en place des démarches de management environnemental sur leur site de production en suivant des lignes directrices, suivent des codes professionnels de bonne conduite (Imprim’vert, Garage propre…) ou appliquent des référentiels de qualité (ISO 14001…). Riche de leur implantation locale (fabrication française, développement de l’économie locale), elles ont donc tous les atouts pour faire valoir leur préoccupation des enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux.

– See more at: http://www.eco-jonction.com/pme-comment-gagner-des-marches-publics/#more-5300

Si, en France, 60% des marchés publics sont attribués à des PME et TPE (voir les chiffres), les petites et moyennes entreprises ne captent que 26% de la richesse créée par la demande publique, en valeur. Pour mettre en avant leur offre, le développement durable constitue un atout de poids pour les PME.

Si, en France, 60% des marchés publics sont attribués à des PME et TPE (voir les chiffres), les petites et moyennes entreprises ne captent que 26% de la richesse créée par la demande publique, en valeur. Pour mettre en avant leur offre, le développement durable constitue un atout de poids pour les PME.

Avec un volume de 120 à 150 milliards d’euros par an, représentant 10% du PIB, les achats publics représentent une vraie opportunité de développement pour les TPE et PME françaises. Souvent découragées par la complexité et le côté fastidieux de la rédaction des réponses aux appels d’offres publics, celles-ci devraient au contraire profiter de leur ancrage local pour faire valoir leur savoir-faire et leur expertise français et se différencier des grands groupes. Cette préoccupation est encore plus présente en cette période de crise, où l’Etat cherche à favoriser le développement de l’économie locale.

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Depuis plusieurs années, l’évolution de la législation vise à donner plus d’importance au développement durable dans les critères d’attribution des marchés publics. Ainsi, depuis 2004, dans son article 5, le Code des marchés publics oblige tout acheteur public à se préoccuper du développement durable dans la définition de ses besoins. Par ailleurs, la loi Grenelle 1 du 3 août 2009 précise, dans son article 48, que “l’Etat favorisera le respect de l’environnement dans l’achat public par un recours croissant […] aux critères environnementaux et aux variantes environnementales”. Plus récemment, certaines dispositions sont venues renforcer cette tendance : ainsi, le Code des marchés publics impose, depuis 2011, des “performances en matière de développement des approvisionnements directs de produits de l’agriculture”. Et l’Etat s’était fixé, pour 2010, l’objectif d’une “utilisation exclusive de papier éco-responsable”.

Fabrication française, ISO 14001 : les PME, moteurs du développement durable
Face à ces impératifs de prise en compte du développement durable, les TPE et PME sont particulièrement bien placées pour mettre en avant ces atouts. En France, la plupart des innovations réalisées en matière de produits écolabellisés sont le fait des PME. Par ailleurs, de nombreuses PME mettent en place des démarches de management environnemental sur leur site de production en suivant des lignes directrices, suivent des codes professionnels de bonne conduite (Imprim’vert, Garage propre…) ou appliquent des référentiels de qualité (ISO 14001…). Riche de leur implantation locale (fabrication française, développement de l’économie locale), elles ont donc tous les atouts pour faire valoir leur préoccupation des enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux.

– See more at: http://www.eco-jonction.com/pme-comment-gagner-des-marches-publics/#more-5300

Avec un volume de 120 à 150 milliards d’euros par an, représentant 10% du PIB, les achats publics représentent une vraie opportunité de développement pour les TPE et PME françaises. Souvent découragées par la complexité et le côté fastidieux de la rédaction des réponses aux appels d’offres publics, celles-ci devraient au contraire profiter de leur ancrage local pour faire valoir leur savoir-faire et leur expertise français et se différencier des grands groupes. Cette préoccupation est encore plus présente en cette période de crise, où l’Etat cherche à favoriser le développement de l’économie locale.

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Depuis plusieurs années, l’évolution de la législation vise à donner plus d’importance au développement durable dans les critères d’attribution des marchés publics. Ainsi, depuis 2004, dans son article 5, le Code des marchés publics oblige tout acheteur public à se préoccuper du développement durable dans la définition de ses besoins. Par ailleurs, la loi Grenelle 1 du 3 août 2009 précise, dans son article 48, que “l’Etat favorisera le respect de l’environnement dans l’achat public par un recours croissant […] aux critères environnementaux et aux variantes environnementales”. Plus récemment, certaines dispositions sont venues renforcer cette tendance : ainsi, le Code des marchés publics impose, depuis 2011, des “performances en matière de développement des approvisionnements directs de produits de l’agriculture”. Et l’Etat s’était fixé, pour 2010, l’objectif d’une “utilisation exclusive de papier éco-responsable”.

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Face à ces impératifs de prise en compte du développement durable, les TPE et PME sont particulièrement bien placées pour mettre en avant ces atouts. En France, la plupart des innovations réalisées en matière de produits écolabellisés sont le fait des PME. Par ailleurs, de nombreuses PME mettent en place des démarches de management environnemental sur leur site de production en suivant des lignes directrices, suivent des codes professionnels de bonne conduite (Imprim’vert, Garage propre…) ou appliquent des référentiels de qualité (ISO 14001…). Riche de leur implantation locale (fabrication française, développement de l’économie locale), elles ont donc tous les atouts pour faire valoir leur préoccupation des enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux.

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Si, en France, 60% des marchés publics sont attribués à des PME et TPE (voir les chiffres), les petites et moyennes entreprises ne captent que 26% de la richesse créée par la demande publique, en valeur. Pour mettre en avant leur offre, le développement durable constitue un atout de poids pour les PME.

Avec un volume de 120 à 150 milliards d’euros par an, représentant 10% du PIB, les achats publics représentent une vraie opportunité de développement pour les TPE et PME françaises. Souvent découragées par la complexité et le côté fastidieux de la rédaction des réponses aux appels d’offres publics, celles-ci devraient au contraire profiter de leur ancrage local pour faire valoir leur savoir-faire et leur expertise français et se différencier des grands groupes. Cette préoccupation est encore plus présente en cette période de crise, où l’Etat cherche à favoriser le développement de l’économie locale.

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Depuis plusieurs années, l’évolution de la législation vise à donner plus d’importance au développement durable dans les critères d’attribution des marchés publics. Ainsi, depuis 2004, dans son article 5, le Code des marchés publics oblige tout acheteur public à se préoccuper du développement durable dans la définition de ses besoins. Par ailleurs, la loi Grenelle 1 du 3 août 2009 précise, dans son article 48, que “l’Etat favorisera le respect de l’environnement dans l’achat public par un recours croissant […] aux critères environnementaux et aux variantes environnementales”. Plus récemment, certaines dispositions sont venues renforcer cette tendance : ainsi, le Code des marchés publics impose, depuis 2011, des “performances en matière de développement des approvisionnements directs de produits de l’agriculture”. Et l’Etat s’était fixé, pour 2010, l’objectif d’une “utilisation exclusive de papier éco-responsable”.

Fabrication française, ISO 14001 : les PME, moteurs du développement durable
Face à ces impératifs de prise en compte du développement durable, les TPE et PME sont particulièrement bien placées pour mettre en avant ces atouts. En France, la plupart des innovations réalisées en matière de produits écolabellisés sont le fait des PME. Par ailleurs, de nombreuses PME mettent en place des démarches de management environnemental sur leur site de production en suivant des lignes directrices, suivent des codes professionnels de bonne conduite (Imprim’vert, Garage propre…) ou appliquent des référentiels de qualité (ISO 14001…). Riche de leur implantation locale (fabrication française, développement de l’économie locale), elles ont donc tous les atouts pour faire valoir leur préoccupation des enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux.

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Si, en France, 60% des marchés publics sont attribués à des PME et TPE (voir les chiffres), les petites et moyennes entreprises ne captent que 26% de la richesse créée par la demande publique, en valeur. Pour mettre en avant leur offre, le développement durable constitue un atout de poids pour les PME.

Avec un volume de 120 à 150 milliards d’euros par an, représentant 10% du PIB, les achats publics représentent une vraie opportunité de développement pour les TPE et PME françaises. Souvent découragées par la complexité et le côté fastidieux de la rédaction des réponses aux appels d’offres publics, celles-ci devraient au contraire profiter de leur ancrage local pour faire valoir leur savoir-faire et leur expertise français et se différencier des grands groupes. Cette préoccupation est encore plus présente en cette période de crise, où l’Etat cherche à favoriser le développement de l’économie locale.

Les critères “verts” de plus en plus pris en compte
Depuis plusieurs années, l’évolution de la législation vise à donner plus d’importance au développement durable dans les critères d’attribution des marchés publics. Ainsi, depuis 2004, dans son article 5, le Code des marchés publics oblige tout acheteur public à se préoccuper du développement durable dans la définition de ses besoins. Par ailleurs, la loi Grenelle 1 du 3 août 2009 précise, dans son article 48, que “l’Etat favorisera le respect de l’environnement dans l’achat public par un recours croissant […] aux critères environnementaux et aux variantes environnementales”. Plus récemment, certaines dispositions sont venues renforcer cette tendance : ainsi, le Code des marchés publics impose, depuis 2011, des “performances en matière de développement des approvisionnements directs de produits de l’agriculture”. Et l’Etat s’était fixé, pour 2010, l’objectif d’une “utilisation exclusive de papier éco-responsable”.

Fabrication française, ISO 14001 : les PME, moteurs du développement durable
Face à ces impératifs de prise en compte du développement durable, les TPE et PME sont particulièrement bien placées pour mettre en avant ces atouts. En France, la plupart des innovations réalisées en matière de produits écolabellisés sont le fait des PME. Par ailleurs, de nombreuses PME mettent en place des démarches de management environnemental sur leur site de production en suivant des lignes directrices, suivent des codes professionnels de bonne conduite (Imprim’vert, Garage propre…) ou appliquent des référentiels de qualité (ISO 14001…). Riche de leur implantation locale (fabrication française, développement de l’économie locale), elles ont donc tous les atouts pour faire valoir leur préoccupation des enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux.

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