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Conseils pour réduire vos coûts d'impression

Le mémoire technique : la forme

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Pour optimiser votre mémoire technique et mettre en valeur votre savoir-faire vous travaillez le contenu, vous vous appliquez à suivre nos conseils de personnalisation mais la forme compte aussi.

Imaginez que, pour une consultation moyenne de quelques milliers d’euros en BTP, l’administration reçoit une dizaine d’offres. Pour évaluer la valeur technique de chacune d’entre elles, il lui faudra lire les mémoires techniques (certains frôlent la centaine de pages en mode catalogue) et forcément résumer l’essentiel pour entrer dans les critères de choix et présenter un dossier complet lors de la commission de marché.

Si vous ne leur facilitez pas la tâche, vous prenez le risque que vos lecteurs passent à côté du plus important, ne vous comprennent pas bien, ne lisent pas tout.

Par exemple, structurer votre mémoire en parties clairement identifiées et numérotées vous permet d’établir une table des matières avec le renvoi aux numéros de pages et facilite la navigation du lecteur dans votre document. Un mémoire ne se lit pas comme un roman du début à la fin. Le lecteur va en général immédiatement vers ce qui est le plus important pour lui (moyens humains, plannings…) puis revient vers les parties qui lui permettent de comprendre comment vous compter vous y prendre. Ensuite, il reviendra vers certains éléments pour vous attribuer une note pour chaque critère défini. Enfin, en commission, s’il doit justifier ou expliquer certaines choses, il devra pouvoir rapidement se référer à votre document.

Au final, la table des matières lui aura facilité l’analyse de votre offre, lui aura permis d’en avoir une vision claire et synthétique. Il vous en sera donc reconnaissant et, en plus, il sera plus convainquant pour en parler aux décisionnaires.

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Impact environnemental de la communication par clé USB

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L’impression papier est consensuellement mise en cause quand il s’agit d’impact environnemental du document. Mais qu’en est-il des autres modes de transmissions ?

L’Ademe a mené une étude sur l’impact de la communication par clé USB. Elle a mené l’étude sur la base d’un document de 10 Mo (environ 200 pages pdf) transmis lors d’un colloque.

Il ressort de l’étude que transmettre un document de 10 Mo à 1 personne par clé USB équivaut à l’émission d’environ 11 g d’équivalent CO2. Ainsi, les émissions correspondant à la transmission d’un document de 10 Mo à 1000 personnes à l’occasion d’un colloque par exemple représentent les mêmes impacts potentiels sur le changement climatique qu’un trajet d’un peu plus de 80 kilomètres en voiture.
Il faut noter que les résultats obtenus sont étroitement liés à l’estimation de la « part » de la clé USB allouée à la transmission du document considéré, qui dépend de la capacité de la clé USB et de son taux de remplissage.
Par ailleurs il est important de rappeler que la réutilisation possible de la clé USB n’a pas été prise en compte. Dans le cas où la clé serait amenée à être réutilisée ultérieurement, les impacts associés à la transmission d’un document seraient moindres.

D’où viennent les impacts ?
L’étape de production de la clé USB apparaît comme l’étape du cycle de vie la plus contributrice au bilan environnemental de la transmission d’informations par clé USB. Le second poste est la production de l’ordinateur sollicité dans le cadre de la phase d’utilisation de la clé USB. En effet, les procédés de fabrication des éléments électroniques à la fois de la clé USB et de l’ordinateur utilisé sont hautement consommateurs d’énergie, d’eau et de métaux rares, ce qui explique le fort impact de ces éléments sur la plupart des indicateurs.
Par ailleurs dès lors que l’utilisateur lit à l’écran le document transmis ou l’imprime, les impacts potentiels associés à l’étape de transmission du document deviennent négligeables en comparaison des impacts associés à l’utilisation du document.

Quels sont les paramètres clés ?
Les analyses de sensibilité ont mis en avant que les résultats sont sensibles à différents paramètres. Il apparaît que les paramètres les plus sensibles sont  le comportement du destinataire, la capacité et le taux de remplissage de la clé.

Réduire l’impact environnemental lié à l’utilisation d’une clé USB
Afin de limiter ou réduire l’impact environnemental associé à la transmission d’un document par clé USB, l’enjeu est d’optimiser le ratio entre la taille du circuit imprimé et le nombre de composants électronique d’une part et la capacité de la clé USB d’autre part. En effet, les composants électroniques ayant un impact environnemental important, il est préférable d’opter pour une clé USB offrant une large capacité de stockage pour une taille physique minimale.
Par ailleurs la réutilisation de la clé est à encourager puisque plus la quantité de données transitant par la clé sur sa durée de vie est élevée, plus l’impact de la production sera amorti sur le nombre de ces documents.

Source : Ademe

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Coopératives et marchés publics

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La préférence pour les coopératives dans la passation des marchés publics avait disparu mais elle est de nouveau effective. Ainsi dans le DC2, l’administration vous invite à faire connaître le statut de votre entreprise qui peut vous valoir cette préférence.

Ainsi, lors de la passation d’un marché, un droit de préférence est attribué à égalité de prix et à équivalence d’offres à l’offre présentée par :

  • une société coopérative ouvrière de production,
  • un groupement de producteurs agricoles,
  • un artisan,
  • une société coopérative d’artisans,
  • une société coopérative d’artistes,
  • des entreprises adaptées.

Les offres sont regardées comme équivalentes au sens de ces dispositions :

  1. S’il est procédé à leur pondération chiffrée, lorsque l’écart du nombre de points obtenus par rapport à l’offre la mieux classée n’excède pas 10 % ;
  2. S’il est procédé par hiérarchisation des critères, lorsque après l’application du ou des précédents critères, l’écart de prix entre les offres restantes n’excède pas 10 %.

Concrètement, si votre offre est à 10% près au même prix et de la même qualité que le mieux disant, vous bénéficiez d’une préférence si vous pouvez justifier d’un de ces statuts.

Lorsque les marchés portent, en tout ou partie, sur des prestations susceptibles d’être exécutées par des artisans ou des sociétés d’artisans ou des sociétés coopératives d’artisans ou des sociétés coopératives ouvrières de production ou des entreprises adaptées, les pouvoirs adjudicateurs contractants doivent, préalablement à la mise en concurrence, définir les travaux, fournitures ou services qui, à ce titre, et dans la limite du quart du montant de ces prestations, à équivalence d’offres, seront attribués de préférence à tous autres candidats, aux artisans ou aux sociétés coopératives d’artisans ou aux sociétés coopératives ouvrières de production ou à des entreprises adaptées »  = quart réservataire. Plus particulièrement intéressante pour les artisans et leurs groupements (mais pas uniquement) cette disposition permet de réserver 1/4 des travaux ou services pour ces entreprises au détriment des grands groupes.

2012 étant l’année internationale des coopératives, profitez-en pour promouvoir ce type d’ organisation en vous positionnant sur les marchés publics…

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Pourquoi une politique papier ?

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Le papier est emblématique. C’est un moyen de s’orienter vers une politique plus globale d’économies d’énergie et donc de développement durable, précise Valéry Hergott, directeur de Riposte Verte, association pour un environnement tertiaire responsable.

Instaurer une politique papier dans une entreprise est souvent porteur d’économies et de gains visibles en termes de développement durable. Une
évidence quand on sait que le papier représente 60 à 80 % des déchets dr l’entreprise. Utiliser moins de papier et mieux consommer peuvent être les objectifs des sociétés qui se lancent dans l’aventure.

Mettre en place une politique papier passe donc par une politique d’achats en termes de papier. Est-ce du papier recyclé, labellisé ou classique ? Quelles sont les quantités de papier utilisé ?

Cela passe aussi par un changement des habitudes des salariés. Des actes simples comme la réutilisation des feuilles imprimées pour le brouillon
ou le paramétrage des multifonctions pour des impressions recto/verso permettent de limiter le gaspillage.

Des entreprises comme Veolia Propreté, Tri-o, Paprec ou Élise. offrent des services de tri et de recyclage du papier. Certaines entreprises proposent même de racheter le papier. Paprec met ainsi à la disposition des entreprises de Paris et de la petite couronne (Hauts-de-Seine, Seine Saint-Denis, Val-de-Marne), son kit de recyclage comprenant la livraison, la collecte et le recyclage de 20 cartons. De son côté, Élise équipe les collaborateurs de corbeilles de tri et met à disposition des conteneurs de stockage, des caissons confidentiels et autres collecteurs de tri sélectif.
De l’achat de papier à un changement d’habitudes de consommation de la part des collaborateurs, la mise en place d’une politique papier est un gage de succès immédiat et visible pour une entreprise engagée dans une démarche développement durable. Nous ne militons pas pour le « zéro papier » mais pour une utilisation raisonnée et raisonnable de celui-ci, souligne le directeur associé de Riposte Verte. Tout dématérialiser n’est pas une solution. Le revers de la médaille de cette stratégie est le coût énergétique important des postes informatiques nécessaires à cette dématérialisation.

Source : Décision achats

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Vacances

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Pour être sûr que vous ne raterez aucune publication pendant vos congés, nous marquons une pause estivale.

Excellentes vacances

Nous nous retrouverons le 3 septembre.

La valeur juridique d’un mail

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J’entends beaucoup d’utilisateurs me dire qu’ils ont besoin de leur fax parce que le mail n’a pas de valeur juridique. Commençons par dire que le fax n’en a pas non plus. Il peut tout au plus constituer un « commencement de preuve ».

Pour entrer dans le détail de la valeur juridique du mail, étudions les différents cas.

D’un point de vue juridique, un e-mail peut être produit en justice dans tous les cas où la preuve est libre (droit pénal, droit commercial et, selon les domaines, droit civil). Comme preuve, ou comme commencement de preuve, selon les cas.

Reste que, d’un point de vue technique, un message électronique n’apporte généralement aucune fiabilité quant à l’identité de l’expéditeur et à l’intégrité du message. Sa valeur probatoire est donc soumise à l’appréciation du magistrat qui aura à statuer, et dépendra de la connaissance technique de ce dernier.

Le cas particulier des relations commerciales

La preuve est libre dans les litiges qui opposent les professionnels : l’article 109 du code du commerce permet d’utiliser tous les moyens de preuve à disposition.

Article 109 du code du commerce :
« A l’égard des commerçants, les actes de commerce peuvent se prouver par tous moyens à moins qu’il n’en soit autrement disposé par la loi. »

Ainsi, une entreprise a toute la liberté d‘utiliser un e-mail (ou un fax d’ailleurs) comme preuve lors d’un procès contre une autre société, à la condition qu’il manifeste une expression de consentement. Les preuves peuvent consister en des présomptions ou encore des preuves testimoniales (c’est à dire fournies par un témoin).

S’assurer de l’identité de l’expéditeur et de l’intégrité du message

Pour les messages importants ou susceptibles de faire l’objet d’un litige, il est fortement conseillé de fiabiliser son envoi. S’il satisfait les 3 critères de fiabilité (identification claire de l’émetteur, précision de la date et assurance de l’intégralité du message), votre e-mail sera plus facilement considéré comme une preuve ou un commencement de preuve. Pour ce faire, plusieurs techniques sont à votre disposition.

  • la signature électronique
    Cette technologie garantit l’identité de l’émetteur et le contenu du message. Depuis la loi du 29 février 2000, la signature électronique donne à l’écrit électronique valeur de preuve au même titre que la feuille de papier. L’e-mail ainsi envoyé a une valeur juridique.
  • les services de courrier recommandé
    Par l’utilisation de ces services, l’expéditeur reçoit un certificat d’émission et le destinataire un certificat de délivrance. En juin 2001, le Tribunal de Grande Instance (TGI) de Paris a reconnu la valeur juridique d’un courrier recommandé, envoyé sur un site qui propose ce service. Depuis cette décision, ces services sont reconnus par les tribunaux.
  • Pour une double sécurité, il est également possible d’ajouter une signature électronique aux messages recommandés.

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Bonnes pratiques d’impression : comment ?

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Amenez les utilisateurs à changer leurs pratiques est un des principaux enjeux de l’optimisation des impressions. Sans eux, impossible de faire baisser les volumes. Sans eux, impossible de tirer parti des fonctionnalités offertes par les matériels. Sans eux, impossible d’imprimer au bon endroit, au bon moment.

Mais comment faire ?

L’accompagnement ne doit pas rester un vain mot. Il s’agit bien de faire prendre conscience, de former, de motiver et de faire pratiquer.

Première phase : faire prendre conscience. Les recettes sont multiples et pourtant toujours un peu les mêmes.

  • Afficher les coûts
  • Afficher l’impact environnemental
  • Donner des astuces
  • Mettre en place une charte
  • Intégrer les utilisateurs dans le projet

Dernière étape : faire pratiquer. Après avoir passé toutes les étapes précédentes (et seulement après), il convient d’imposer /

  • le resto-verso par défaut,
  • l’usage de badges,
  • le routage des gros volumes,
  • la maîtrise de la couleur…

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Prestations intellectuelles : un devis

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Comme nous l’avons déjà évoqué plusieurs fois, les organisations publiques peuvent se contenter de demander 3 devis pour attribuer une prestation inférieure à 15 000 €.

Ces consultations concernent particulièrement les prestations intellectuelles du type conseil, audit…

Mais encore faut-il que le devis soit vendeur, concis et suffisamment précis pour éviter les malentendus. Il ne s’agit pas de rédiger un mémoire technique à proprement parler mais il convient tout de même d’aller au-delà d’un nombre de jours multiplié par un tarif.

Comme pour le mémoire technique, il vous faut démontrer que vous avez compris la problématique et le contexte.

Dans cette problématique, nous retrouvons très souvent celle du délai. Il est donc important de démontrer votre capacité à planifier vos prestations et à respecter vos engagements dans ce domaine.

La vraie difficulté consiste à présenter vos prestations et votre valeur ajoutée de façon synthétique mais non simpliste. Cet exercice est plus facile si vous avez rencontré l’interlocuteur précédemment.

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Marchés publics : se faire connaître

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Comme nous l’avons déjà évoqué dans d’autres articles, pour augmenter ses chances d’emporter des marchés publics, il faut se faire connaître en amont. C’est vrai pour les procédures formelles, mais cela est encore plus vrai pour tous les marchés inférieurs à 15 000 € qui peuvent se résumer à une consultation.

Au sein des collectivités publiques les plus grandes, la décision d’acheter peut faire intervenir jusqu’à 4 personnes différentes :

  • L’utilisateur qui est celui qui est à l’origine de l’achat car c’est lui qui perçoit le « besoin ». Par exemple : un responsable de bibliothèque qui a besoin d’un meuble supplémentaire, un directeur d’école qui veut faire repeindre une classe, un ingénieur qui voudrait un logiciel spécifique…
  • Le représentant du « service technique » ou « acheteur » chargé de mettre en forme, voire de rationaliser le besoin de l’utilisateur pour aboutir, le cas échéant, à un cahier des charges technique.
  • Le « bureau des marchés », composé d’agents de formation administrative et juridique, qui passe formellement le contrat et assure son suivi administratif.
  • Le comptable du Trésor , agent de l’Etat, qui effectue le paiement, généralement par virement bancaire (dans les petites communes, il s’agit du percepteur).

Dans les petites communes, l’utilisateur et le service technique (acheteur) sont souvent une seule et même personne.

L’entrepreneur doit pratiquer un certain marketing vis à vis des services acheteurs des collectivités publiques :

  • pour que ces derniers le connaissent et songent à le consulter dans les marchés de faibles montants,
  • pour qu’ils lui indiquent leurs prévisions d’achats pour l’année à venir.

Il ne doit pas hésiter à entrer en contact avec les utilisateurs et également les services techniques (acheteurs), lorsque la distinction existe.

Une approche locale permet de se faire connaître auprès des administrations proches de l’entreprise (cet aspect est souvent apprécié dans le jugement des offres), d’obtenir des références et d’étendre petit à petit son champs d’action.

Pour en savoir plus, pensez à nos ateliers « Réponse aux appels  d’offres publics ».

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Critères de choix pour prestataire de services d’impression

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Des services d’impression gérés correctement peuvent:

  • réduire les coûts opérationnels de 30 %,
  • accroître la productivité,
  • favoriser le développement durable

Mais tous les fournisseurs ne sont pas en mesure de tenir des promesses sur ces trois plans.

Au moment de choisir un partenaire, les décideurs  peuvent tenir compte des critères suivants :

  1. Maîtrise de l’utilisation des équipements : le fournisseur contrôle tous les équipements et résout les problèmes afin d’éviter des temps d’indisponibilité superflus et de maintenir la productivité des collaborateurs
  2. Accompagnement utilisateurs : le fournisseur aide les collaborateurs à s’adapter à la nouvelle technologie et aux nouveaux processus de travail au moyen de programmes d’accompagnement au changement.
  3. Gestion des coûts et reportings permanents : un processus de reporting officiel est mis en place afin de montrer que les objectifs opérationnels (coût, respect de l’environnement, sécurité et respect des risques) sont atteints ?
  4. Approche multifournisseurs : le fournisseur supporte les équipements d’autres fournisseurs pour éviter aux clients de remplacer des appareils existants par des appareils de sa marque.
  5. Offre complète : l’offre peut être étendue aux centres d’impression internes et aux travailleurs nomades et à domicile.
  6. Flexibilité en matière de vente et de distribution : il y a un point de contact unique et une approche cohérente des services d’impression  pour les entreprises multinationales.
  7. Engagement en faveur de l’innovation : le fournisseur s’investit afin de comprendre les activités de l’entreprise et de proposer aux collaborateurs une approche novatrice pour doper leur efficacité – outre la simple gestion des impressions.
  8. Palmarès : le fournisseur peut avancer des références de qualité qui démontrent des résultats mesurables et durables.

Ces points sont parfois difficiles à évaluer sur un dossier papier mais ils peuvent (doivent ?)  faire l’objet d’une discussion préalable avec les candidats les plus intéressants.

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