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Conseils pour réduire vos coûts d'impression

Informatique et consommation électrique

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L’informatique représenterait un cinquième de la consommation énergétique globale des bureaux franciliens. C’est l’un des enseignements du bilan de l’Arene-IDF sur les consommations d’énergie dans les bureaux. Réalisée par le réseau Rose (Réseau Observatoire et Statistiques de l’Energie), cette étude porte spécifiquement sur des secteurs où l’informatique est prépondérante dans les métiers exercés.

BUREAUTIQUE : 25 % DE LA CONSOMMATION D’ÉLECTRICITÉ FINALE

Selon les conclusions de cette étude, les consommations d’énergie des activités de bureaux en Ile-de-France s’élèvent à 16,6 TWh pour 55,8 millions de m2 de surfaces de bureaux. Sur les 16,6 TWh, la bureautique représente 16 % de la consommation totale d’énergie soit 2,6 Twh. La bureautique n’étant alimentée que par l’électricité, la part de la bureautique monte à 25 % de la consommation d’électricité finale (part la plus importante après l’éclairage et les usages spécifiques – 31 %).

DES ÉCARTS EN FONCTION DES SECTEURS D’ACTIVITÉ

Ramenée au secteur d’activité, la bureautique représente 18 % de la consommation finale du secteur finance-informatique-télécom (643 GWh) et 27 % de la consommation d’électricité, à part égale avec l’éclairage et autres spécifiques. Pour le secteur public, cette part passe à 12 % de la consommation finale (465 GWh) et 27 % de la consommation d’électricité.

Enfin, dans les autres secteurs du privé, la bureautique pèse 17 % de la consommation finale (1557 GWh) et 24 % de la consommation d’électricité. Un dernier chiffre à relativiser en raison du grand nombre de branches métiers regroupées dans cette troisième catégorie.

Source : Riposte Verte

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La rédaction du mémoire technique

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Il est de plus en plus courant de constater que la note du MEMOIRE TECHNIQUE oscille entre 40 et 60% de la note finale. En effet, le mémoire technique est à la base de l’évaluation de la qualité des prestations proposées et de la méthodologie utilisée.

Nombreuses sont les entreprises qui ont pu s’en rendre compte. En effet malgré une offre tarifaire agressive sur plusieurs marchés elles n’ont pas remporté l’affaire. En cause, la faible note obtenue sur leurs mémoires techniques. Certaines entreprises (plutôt petites) ont gardé le réflexe de répondre uniquement sur la réponse technique en négligeant de détailler la méthodologie, les critères environnementaux…

Il règne donc une part d’incompréhension entre les acheteurs publics et les entreprises sur le sujet.Les collectivités recevant des réponses pas assez précises ou ne collant pas à la demande et des entreprises ne comprenant pas ce que souhaite l’acheteur et qui répondent de manière industrialisée.
La question est : comment répondre au mieux à la demande en un minimum de temps puisque les délais de réponse ont tendance à réduire ? Certaines parties du mémoire seront fixes (ou presque) pour l’année : présentation de l’entreprise, présentation des équipes…Elles seront cependant ajustées dans le cas de demandes particulières (si l’entreprise est spécialisée dans plusieurs domaines, elle devra mettre en avant le domaine de l’appel d’offre auquel elle veut répondre). Ces parties doivent faire l’objet d’une rédaction soignée (le temps passé doit être considéré comme un investissement pour l’avenir) et d’une relecture systématique et complète avant d’être utilisées pour une réponse. Cette relecture est indispensable car elle permet les ajustements nécessaires qui donneront l’impression d’adéquation entre l’entreprise, ses savoirs faire et les besoins de l’administration.

Le reste du mémoire sera rédigé spécifiquement pour la réponse à l’appel d’offre auquel l’entreprise souhaite répondre et même si la méthodologie de l’entreprise ne sera pas réinventée pour chaque projet, sa présentation devra être très personnalisée. Il faut montrer que l’on a compris les besoins et la problématique de l’administration.

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La DEEE

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De loin, la démarche la plus efficace pour réduire l’empreinte écologique des Equipements Electriques et Electroniques (EEE). le reconditionnement est aussi la plus intéressante pour toute une frange de la population qui ne cherche pas ou ne peut pas acheter des équipements neufs.

Bref, le marché de l’occasion de qualité (matériel reconditionné) réduit la fracture numérique.

Malheureusement, la France ne parvient toujours pas à développer le reconditionnement des équipements. Bien que financée par les consommateurs (éco-taxe), la filière grand public est gérée par des éco-organismes au service des fabricants. Ces derniers, on s’en doute, privilégient la destruction de matériel en état de marche, plutôt que son reconditionnement.

En 2010, l’éco-organisme français Eco-systèmes a collecté un peu plus de 310 000 tonnes de DEEE, soit 29 millions d’appareils électroménagers et électroniques. C’est 7 millions de plus qu’en 2009.

Malheureusement, à peine plus d’1% des équipements collectés (428.600 appareils) – gros et petit électroménager, écrans de télévisions, ordinateurs – ont été reconditionnés. C’est à peine 0,8 % du total des équipements émis en France la même année.

Pour la CLCV (Confédération de la Consommation, du Logement et du Cadre de Vie), il apparaît donc essentiel que les professionnels de la distribution mettent plus en avant la reprise, et ce d’autant plus que les consommateurs sont favorables à ce geste de tri.

Ainsi, 93 % du panel se dit prêt à rapporter des petits appareils électriques ou électroniques usagés dans des contenants libre-service en magasins. Les consommateurs sont d’autant plus en droit d’attendre que ce dispositif fonctionne à plein qu’ils le financent par l’éco-participation qu’ils payent lors de l’achat.

Par ailleurs, l’utilité du dispositif de collecte repose sur la recyclabilité des équipements électriques et électroniques. Il est donc impératif que les producteurs mettent sur le marché des produits réellement éco-conçus pour optimiser leur fin de vie.

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Les nouveautés de ce blog

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En cette rentrée, nous avons décidé de faciliter votre navigation dans notre blog.

Pour cela, nous avons restructuré les catégories et réorganisé les articles à l’intérieur de cette nouvelle structure.

Ainsi vous allez découvrir les catégories suivantes :

  • ASSPI : regroupe les articles portant sur les différentes activités de ASSPI.
  • Bureau vert : regroupe les articles portant sur le développement durable.
  • Coûts d’impression: ensemble des articles portant sur les coûts directs ou indirects des impressions.
  • Formation et accompagnement: ensemble des articles portant sur l’accompagnement au changement, l’assistance et la formation.
  • Marchés publics : vous permettra de trouver les articles portant sur les marchés publics du côté de l’administration mais aussi de l’entreprise.
  • Optimisation des outils d’impression: vous permettra de trouver les articles portant sur  les projets d’optimisation et de rationalisation des systèmes d’impression.
  • Pilotage des parcs d’impression:Quelques articles existent déjà dans cette catégorie, mais nous souhaitons vraiment traiter davantage ce sujet. Vos contributions sont bien sûr les bienvenues.
  • Spécial PME-TPE : les PME et les TPE y trouveront des articles spécifiques à leurs problématiques d’impression et/ou de marchés publics.
  • Enfin, la catégorie Divers regroupe les inclassables.

Nous espérons que ces nouveautés vous faciliteront l’accès à nos contenus. Dans cet optique, n’hésitez pas à nous faire part de vos suggestions.

Le lancement d’un appel d’offre combien ça coûte ?

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Les appels d’offres sont, le plus souvent, lancés par des structures publiques (collectivités territoriales majoritairement).
Pour les collectivités, les appels d’offres constituent un système administratif dont l’on ne cherche pas, en général, à évaluer la dépense.

La « dépense » relative au lancement d’un appel d’offres, pour une collectivité, est essentiellement constituée par du temps passé par les personnels (et des élus). Il n’est pas d’usage de chiffrer ce coût et il a donc été procédé à son évaluation par assimilation à celui des cabinets conseil.
Les salaires des fonctionnaires territoriaux ne diffèrent pas sensiblement de ceux des consultants (ils sont même souvent supérieurs). Les frais fixes (« loyer », assurances, gestion, etc.) et les frais variables (déplacements, communication, fournitures,…) sont comparables. Si certains de ces frais ne sont pas « comptabilisés » (loyer, impôts,…), ils constituent néanmoins de réels postes de dépenses supportés par la société.
Le temps passé se décompose comme suit:

  • Définition des besoins,
  • Réunion des adjudicateurs pour valider,
  • Rédaction du cahier des charges et des divers documents du marché,
  • Publication de l’avis de consultation,
  • Envoi du DCE (Dossier de Consultation des Entreprises) aux soumissionnaires,
  • Réponse aux questions des candidats,
  • Ouverture des plis et vérification,
  • Analyse des offres retenues, préparation des grilles de notation pour la commission,…
  • Convocation de la commission,
  • Audition devant la commission de sélection ou sélection du lauréat sur dossier,
  • Information du lauréat et des candidats non retenus,
  • Enregistrement, rapport de suivi, statistiques.

L’enquête effectuée auprès des donneurs d’ordres a permis d’évaluer le temps passé pour l’exécution de ces diverses tâches.
Les résultats donnent, en équivalent jours complets (7h/jour):

  • 10 jours/homme pour une consultation après appel à candidatures sans audition pour négociation,
  • 14 jours/homme pour une consultation sur appel d’offre ouvert avec audition (sur la base d’un groupe de 10 personnes composé d’élus et de techniciens).

Le chiffrage, compte tenu des niveaux des intervenants ( techniciens de différentes catégories, élus) et par assimilation aux honoraires des consultants de différents niveaux (de 650 à 1 100€H.T./jour), ces deux types de consultation « coûtent »:

  • 7 500€ H.T. dans le premier cas,
  • 10 500€ H.T. dans le second.

Source : GEFIL

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Recycler vos instruments d’écriture ?

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En cette semaine de rentrée, nous vous proposons de commencer par les bonnes résolutions traditionnelles. Par exemple, Terracycle vous permet de recueillir et recycler vos instruments d’écriture (stylos, règles, blanc correcteur…)

Comment ça marche?

Le but ? Eliminer la notion de déchet!

Pour cela, Terracycle crée des programmes de collecte et imagine des solutions pour recycler et transcycler les déchets qui sont traditionnellement considérés comme non recyclables. En bref, ils transforment le « non-recyclable » en « recyclable ».

Chaque programme de collecte est appelé une « Brigade ». Chaque « Brigade » est composée d’équipes de récupération chargées de collecter une catégorie de déchets. Ces équipes envoient les déchets collectés et Terracycle les recycle ou transcycle en toute une gamme de produits tels des aires de jeux, ou des sacs à dos. L’imagination et les compétences techniques de leurs équipes de design et de Recherche et Développement n’ont, pour l’instant, trouvé aucun type de déchet capable de leur résister.

Depuis Janvier 2011, TerraCycle est aussi présent en France. N’hésitez pas et découvrez comment vous pouvez diminuer le nombre de déchets enfouis ou incinérés tout en collectant des fonds pour une école ou une association de votre choix.

Pour créer une équipe de récupération, inscrivez-vous et rejoignez une Brigade. Les Brigades collectent toutes sortes de déchets à travers le monde. Les équipes de récupération n’ont qu’à télécharger et imprimer un bon de transport prépayé pour  envoyer leurs déchets. En échange de chaque déchet reçu l’équipe de collecte reçoit 2 points TerraCycle. Ces points sont convertibles en cash pour l’association ou l’école du choix de l’équipe de collecte ou en cadeaux solidaires proposés par les associations partenaires. Lorsqu’ils sont convertis en cash, chaque point TerraCycle équivaut à 0,01 €.

En France, TerraCycle a lancé la « Brigade des Stylos et des Instruments d’Ecriture » en partenariat avec BIC. Au sein de cette Brigade, écoles, entreprises et administrations peuvent former leurs équipes de récupération en s’inscrivant là.

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Vacances

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Eh oui ! Le blog de ASSPI prend quelques vacances.

Nous nous retrouverons à la rentrée pour de nouvelles aventures…

En attendant n’hésitez pas à me faire part de vos impressions.

L’empreinte carbone de nos impressions

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L’empreinte carbone est le poids de carbone qui a été nécessaire pour concevoir, fabriquer, transporter, utiliser et éventuellement détruire l’objet.

Imprimer une page, nécessite de fabriquer une imprimante, du papier et de l’encre, les transporter jusqu’à son utilisateur et d’assurer leur destruction une fois utilisés. Il faut donc compter la fabrication, le transport et l’utilisation proprement dite (de quelle energie a-t-elle besoin ?) et ne pas oublier d’inclure sa destruction ou son recyclage. Maitriser son impact sur l’environnement, commence donc par mesurer ce qu’on fait, même lorsqu’il s’agit d’imprimer une simple feuille de papier.

Lexmark a donc essayé de calculer l’empreinte carbone d’une page imprimée avec une imprimante jet d’encre multifonction. On notera que Lexmark a choisi une imprimante jet d’encre. Une imprimante laser a une empreinte écologique bien plus importante. Sa consommation d’electricité est netement plus importante et le processus de fabrication plus complexe faisant appel à des produits complexes comme des semi-conducteurs ( le tambour) et des générateurs de laser.

Dans son étude annuelle sur les impressions et l’utilisation des imprimantes en mode privé ou professionnelle Lexmark a estimé à 68% la part due à l’utilisation d’une imprimante. C’est-à-dire que : la fabrication, le transport et le recyclage des imprimantes ne contribuent pas à plus d’un tiers (32%) de l’empreinte écologique d’une impression avec une imprimante jet d’encre multifonction. Ce que sous entend Lexmark aussi, c’est que si vous voulez réduire votre impact sur la nature vous devez le faire vous-même, ne demander pas aux fabricants d’imprimantes de faire des efforts…

Le Papier représenterait 47 % de l’empreinte carbone et serait donc la première cause d’émission de gaz à effet de serre.

La consommation énergétique contribuerait à environ 10%. Mais attention, uniquement pour une imprimante jet d’encre. Une imprimante laser consommerait beaucoup plus.

L’encre, serait pour seulement 11% du bilan carbone d’une impression.

Ces données sont bien entendu à nuancer sachant qu’elles ont été publiées par un constructeur d’imprimantes mais elles recouvrent une réalité.

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3 astuces pour l’impression en réseau

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1 Installer un serveur d’impression sans attendre
Le serveur d‘impression offre deux avantages principaux : l’administration et le traitement centralisés des impressions. L’administration centralisée permet de réduire considérablement le stress causé chez les administrateurs par le changement constant d’imprimantes, d’utilisateurs, de pilotes et de systèmes d’exploitation.
Le traitement centralisé des impressions offre plusieurs avantages :
– Identification des coûts : contrôle des impressions par utilisateur ou par groupe d’utilisateurs.
– Sécurité : stockage centralisé des tâches d’impression et sortie à la demande pour éviter la présence de données sensibles sur les imprimantes partagées ou pour éliminer le besoin de recourir à une imprimante personnelle.
– Contrôle des systèmes : surveillance et maintenance pour toutes les imprimantes, files d’attente, etc. afin d’éviter les interruptions système.

2 Réduire la résolution
Pour la plupart des impressions, une résolution de 300 ou 600 points par pouce (ppp) est suffisante. Une résolution de 600 ppp est nécessaire uniquement pour les impressions particulières, comme les photos. Si une imprimante couleur est utilisée principalement pour du texte simple, vous pouvez optimiser le résultat et réduire les coûts en remplaçant la couleur par un dégradé de gris.

3 Contrôler la bande passante
Aujourd’hui, les liens réseaux de type WAN sont le plus souvent de type DSL. Ils sont généralement peu fiables car ils sont partagés par un grand nombre d’utilisateurs du réseau. Il est important de vérifier qu’aucune donnée non compressée n’est transmise sur le WAN tout en surveillant l’utilisation globale de la bande passante. Cette bande passante peut-être optimisée en utilisant les technologies .print, afin de réduire le taux d’occupation réseau lié aux impressions.

Source Printnews

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Le coût d’une mauvaise gestion des impressions est plus élevé que vous ne croyez…

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Pour améliorer l’efficacité et réduire la charge de travail ainsi que les coûts informatiques associés, la plupart des PME ne se doutent pas que la première chose à faire est de réorganiser le processus d’impression. Beaucoup d’entre elles n’appréhendent pas correctement les coûts et les complications liés à une tâche d’impression considérée comme « simple ».
L’une des principales difficultés est l’impossibilité de gérer de façon centralisée, depuis un même poste d’administration, l’ensemble des imprimantes. Par exemple, les toners et le papier doivent être renouvelés régulièrement et les bourrages papier sont fréquents. À ces opérations de maintenance continue, s’ajoutent les appels à l’aide incessants dont l’énoncé commence souvent de la manière suivante : « quand je clique sur Imprimer, il ne se passe rien ». Pour l’administrateur, cela représente une source de problèmes infinie et des heures de dépannage.

La gestion des périphériques est également un problème important en matière d’impression. Dans la plupart des entreprises, l’environnement d’impression se développe de façon hétérogène au fil des années, cumulant divers modèles d’imprimantes. Pour les administrateurs, cela se traduit par des problèmes de maintenance récurrents causés par les nombreux pilotes d’imprimantes. À chaque changement de système, l’administrateur doit vérifier la compatibilité avec l’ensemble des imprimantes. Il doit donc identifier, tester et installer les pilotes correspondant à chaque imprimante, ce qui ralentit considérablement le processus d’administration.

Avec les imprimantes réseaux, il ne s’agit pas uniquement d’affecter l’utilisateur au bon groupe d’utilisateurs, par exemple l’équipe marketing ou commerciale, mais il faut l’affecter également à un lieu, par exemple une zone, un étage ou une aile d’un bâtiment. Ainsi, lorsqu’un utilisateur se connecte à un réseau, il souhaite que les imprimantes disponibles dans sa session se trouvent à proximité immédiate de son emplacement physique, pour un accès plus facile. Les utilisateurs des petites entreprises peuvent apprendre individuellement à mapper leurs propres imprimantes ou à les installer sur leur ordinateur de bureau. Cependant, lorsque le nombre d’utilisateur est plus important, cette pratique est peu vraisemblable.
L’impression peut être un véritable fardeau pour une infrastructure, nécessitant de nombreuses ressources informatiques et de réseau. Heureusement, il existe de nombreuses façons d’améliorer l’impression dans les PME.

L’installation d’un serveur d’impression est la première chose à faire pour résoudre les problèmes d’impression, même dans les petits environnements. L’administration et la mise à jour du système sont centralisées et simplifiées. Les interruptions du processus d’impression n’affectent pas immédiatement les applications. En outre, les infrastructures de type bureaux virtuels, serveurs de terminaux et de type « systèmes hôtes » restent stables grâce à l’externalisation du processus d’impression. Cette externalisation offre également un point de gestion centralisée de l’utilisation des ressources, telles que la bande passante.
Cependant, l’installation d’un serveur central d’impression nécessite du temps notamment lors des mises à jour, car chaque modèle d’imprimante fonctionne avec son propre pilote, parfois dans différentes versions selon les systèmes d’exploitation aussi bien côté serveur que côté client. L’utilisation d’un pilote d’imprimante virtuel constitue une solution pratique. Grâce à cette solution, le fabriquant du pilote original est identifié de façon centrale sur le serveur d’impression et une seule version de chaque pilote d’imprimante doit être identifié, testé et installé. Avec cette technologie, il n’est plus nécessaire d’installer les pilotes d’imprimantes sur chaque poste client et les anciens modèles d’imprimantes peuvent toujours être utilisés, même si les ordinateurs des utilisateurs sont mis à niveau, par exemple vers Windows 7.

L’utilisation des bons paramètres d’impression permet de réduire la charge réseau en optimisant la compression et en réduisant la puissance de calcul nécessaire. Le « Green IT » est aussi une tendance qui amène aujourd’hui les entreprises, à identifier précisément leurs coûts d’impression, réduire la consommation en papier, en encre et en toners, tout en ajustant au mieux le nombre d’imprimantes qu’elles utilisent.

Source Printnews

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