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Conseils pour réduire vos coûts d'impression

PME et collectivités territoriales

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L’Observatoire des PME, met en lumière la forte présence des PME dans les marchés publics, et particulièrement dans ceux des collectivités territoriales.

Dans les activités des PME, les marchés publics représentent une part non négligeable. En effet, près des deux tiers des marchés publics locaux (61%) sont attribués aux PME et aux ETI (établissements de taille intermédiaire), et presque la moitié des marchés publics étatiques (43%) sont remportés par ces entreprises.

De plus, l’attribution d’un grand nombre de marchés publics par les collectivités territoriales à des PME permet de renforcer le développement territorial régional, puisque ces marchés profitent à 41% à des entreprises locales.

Si vous n’en étiez pas encore persuadés, voilà 2 statistiques qui devraient vous convaincre de vous intéresser à ces futurs clients…

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Besoin d’un copieur ou d’une imprimante ?

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Très souvent, le renouvellement d’un copieur ou d’une imprimante se fait dans l’urgence de la panne définitive de l’existant. La pression des utilisateurs amène donc à contacter le fournisseur actuel, lui demander de faire un devis, au mieux discuter un peu les prix et beaucoup les délais de livraison et passer commande du même type de matériel.

Il est vrai que mener une vraie consultation peut s’avérer long et déroutant.
Technologiquement d’abord, chacun a pu expérimenté que les caractéristiques des matériels sont nombreuses (plus de 60 par exemple pour les copieurs), que certaines sont obscures (exemple : scan Twain réseau). Ainsi, choisir les critères importants quant à vos besoins, les comparer entre plusieurs marques et modèles devient vite un parcours du combattant.
Contractuellement ensuite, il existe pratiquement autant de contrats différents que de fournisseurs : vente, location, crédit-bail, location-maintenance, maintenance forfaitaire, maintenance à la page, achats de consommables, tickets d’intervention, garantie et extension de garantie,…Comment choisir la formule qui sera la plus adaptée à vos besoins et comment comparer des offres qui ne portent pas sur les mêmes éléments ?

Et encore… Avant d’en arriver au labyrinthe de la comparaison des offres, il faut avoir défini les besoins ! Il faut également connaître un peu les acteurs du secteur pour savoir à qui demander une offre et quel crédit accordé à chacun.

Bref, à moins de ne pratiquer que le remplacement du 1 pour 1 auprès de votre fournisseur habituel, s’équiper d’un copieur ou d’une imprimante va vous prendre beaucoup de temps et le temps passé ne sera pas forcément gage d’un chois en toute connaissance de cause.

Donc, à moins d’avoir en interne un spécialiste de la question, faire appel à un expert indépendant peut s’avérer très rentable. Il saura formaliser vos besoins réels et envisager vos systèmes d’impression dans leur ensemble. Il pourra donc rédiger un cahier des charges précis qui permettra aux fournisseurs de produire des réponses précises. Il saura créer une grille de comparaison des offres pertinente par rapport à votre situation spécifique. Il saura décrypter les clauses et autres subtilités contractuelles qui pourraient vous créer de mauvaises surprises, surtout en fin de contrat… et il fera tout cela plus vite que vous, donc à moindres frais.

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Le marché des imprimantes

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Même si les technologies d’impression se diversifient (cires, encres solides, résines, 3D,…), le marché se répartit encore entre imprimantes laser et imprimantes jet d’encre et dans chacune de ces catégories, entre impression noire et impression couleur.

Il faut noter que les imprimantes laser monochromes demeurent majoritaires dans le monde de l’entreprise en France. Cette prépondérance est encore plus importante quand il s’agit des volumes imprimés. Les imprimantes laser couleur sont en forte progression.

En termes d’évolutions, la tendance notable à venir est celle du développement de l’impression mobile. dans ce domaine les imprimantes laser WiFi sont en forte progression également. IDC (International Data Corporation) prévoit que d’ici 2015, la moitié des utilisateurs de smartphones et de tablettes utiliseront l’impression mobile au bureau.

Les 5 premiers constructeurs d’imprimantes sont dans l’ordre : HP, Canon, Epson, Brother et Samsung. Il est à noter que Samsung est le constructeur qui progresse le plus.

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La note de cadrage

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Les directeurs informatiques, et plus généralement tous ceux qui gèrent des projets, l’apprécient particulièrement. La note de cadrage est un document de synthèse qui est élaboré au début du projet.

L’objectif est de rendre le projet compréhensible par tous. La pertinence d’une note de cadrage peut être vérifiée en la faisant lire à quelqu’un externe au projet et en s’assurant qu’il ou elle a bien compris les principales idées du projet.

Elle n’a pas de forme type et doit être adaptée à chaque cas.

Elle doit répondre aux questions suivantes :

  • Qui sont les parties impliquées dans le projet : équipes internes, chef de projet, prestataires externes,… ?
  • Quels sont les objectifs ?
  • Quel est le délai et le planning prévisionnel?
  • Quel est le budget ?
  • A quoi sert le projet ?
  • Quelle rentabilité est attendue ?

La note de cadrage est souvent utilisée lors de la réunion de lancement ou réunion de cadrage qui réunit les personnes impliquées et le chef de projet afin de leur permettre de :

  • Synchroniser leurs visions du projet
  • Définir les règles de fonctionnement
  • Etablir un intérêt mutuel au projet
  • Définir une organisation commune

La rédaction de la note de cadrage permet de prendre en main un projet, de communiquer avec les acteurs d’un projet et permet d’avoir une vue synthétique du projet.

Pour les projets importants d’optimisation des systèmes d’impression qui s’étendent  dans le temps, nous utilisons cet outil pour formaliser les préalables au démarrage du projet et pour constituer le premier élément de la communication qui doit accompagner la réussite du projet.

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Conibi

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C’est en 2000 que Conibi (Consortium Informatique et Bureautique) est né de la volonté de quelques constructeurs alors qu’ils n’avaient aucune obligation règlementaire. Leur objectif est de proposer à leurs clients un service simple et gratuit de collecte de consommables usagés. Conibi met à disposition dans les locaux des clients des boîtes de collecte et les ramasse quand elles sont pleines. Il fournit ensuite au client un bordereau de suivi des déchets. Au-delà de sa mission première de récupération des consommables informatiques et bureautiques, Conibi collecte aussi les piles, les sources lumineuses, les documents imprimés et les DEEE.

Depuis sa naissance, Conibi a évolué et d’autres constructeurs ont rejoint le consortium (voir liste des membres ici).

Au-delà de l’aspect environnemental, Conibi souhaite renforcer  sa contribution à l’économie sociale et solidaire, en s’appuyant sur de nouveaux partenaires : Maine Ateliers et Envie.

Ainsi, depuis 2 ans, Conibi confie l’ensemble du tri des consommables collectés sur l’Ouest de la France à l’Entreprise Adaptée Maine-Ateliers (Gorron). Cette prestation est réalisée par des travailleurs handicapés, encadrés par des professionnels et bénéficiant d’une insertion professionnelle durable dans une Entreprise de l’Economie Sociale et Solidaire.

Désireux d’affirmer son engagement social, Conibi a démarré en 2013 un nouveau partenariat solidaire avec Envie en confiant à  l’Entreprise d’Insertion, la réception et le tri de son flux national de DEEE. C’est le site d’Envie 2E Ile de France qui a été retenu pour réaliser cette prestation. Après une courte période de test c’est donc désormais plus de 70% des flux totaux de DEEE Conibi qui sont confiés à Envie.

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Et de 4…

2 Commentaires »

4 ans d’existence, 308 articles publiés, …

Je ne sais pas combien d’heures passées devant la page blanche à l’écran

et encore moins combien passées à lire et à compiler des informations.

0 pages imprimées par contre, promis.

Nous voilà donc repartis pour une année de plus.

Je vous remercie pour vos visites, vos encouragements et nos échanges.

Je vous invite à nous apporter vos commentaires et à vous abonner pour recevoir nos articles par mail.

Très cordialement

Isabelle Obiols

Simplification administrative

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Selon l’OCDE, la complexité administrative coûterait 60 milliard d’euros par an aux entreprises françaises. Nous vous avions déjà parlé du plan pluriannuel de simplification voulu par François Hollande. Un conseil de la simplification a donc été créé et après 3 mois de travail, il a proposé 50 mesures pour alléger les démarches administratives.

En matière de marchés publics, le conseil reprend l’idée émise par le  SGMAP (Secrétariat Général pour la Modernisation de l’Action Publique) du Marché Public Simplifié (MPS). Il s’agit de permettre aux entreprises de candidater avec juste leur numéro de Siret. Les documents justificatifs exigés aujourd’hui dans le dossier de candidature ne seront plus nécessaires que pour l’entreprise retenue. Sachant que la constitution du dossier de candidature prend en moyenne 2 heures, cette annonce est une très bonne nouvelle pour les entreprises qui pourront se consacrer davantage à la qualité de leur offre.

Cette mesure s’appliquera auprès de 300 000 entreprises au 1er septembre 2014 et sera étendue à toutes les entreprises, au 1er janvier 2015.

D’autres mesures destinées à faciliter l’accès des entreprises aux marchés publics devraient être présentées lors de la deuxième vague de mesure proposées par le conseil de la simplification, à la rentrée prochaine.

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Les 5 piliers de l’optimisation des systèmes d’impression

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Les projets d’optimisation des systèmes d’impression peuvent avoir des objectifs divers et variés (développement durable, productivité, service, économies,…). Ils peuvent être menés en suivant diverses stratégies (mutualisation, facilities management, renégociation, accompagnement utilisateurs,…). Mais, malgré la diversité de leur nature, 5 pistes sont toujours utiles à exploiter.

La centralisation des achats permet d’obtenir d’excellents résultats en termes financiers. Quand il s’agit de centraliser les achats qui auparavant été délégués à chaque site (voire à chaque direction), le bénéfice est évident : les conditions de négociation sont bien plus favorables sur des quantités importantes. Quand il s’agit de centraliser les achats auprès d’une seule et unique direction alors que les achat d’imprimantes étaient confiés à la DSI, les achats de copieurs aux services généraux ainsi que les achats de consommables, le bénéfice porte sur la vision globale des coûts (la DSI achetait des imprimantes peu chères sans s’intéresser du coût des consommables, elles prendra sa décision sur un coût global si elle est responsable du budget global).

La mobilité est une réelle amélioration du service rendu aux utilisateurs. Elle permet de les accompagner dans leur appropriation de nouveaux usages sans imprimante personnelle. Elle consiste à leur donner la possibilité d’imprimer n’importe où par choix ou comme solution de repli en cas de pannes. L’homogénéisation des parcs facilite cette utilisation.

La location et le prix à la page sont des offres bien connues des responsables de parcs de copieurs, beaucoup moins des responsables de parcs imprimantes. Et pourtant … Le prix à la page est réellement une source d’économie substantielle par rapport au modèle d’achats de consommables. En effet, il oblige les constructeurs à faire preuve d’innovation pour réduire le coût des consommables s’ils veulent que leurs contrats soient rentables et vendables. De plus il apporte un vrai plus aux utilisateurs d’imprimantes qui bénéficient de service de maintenance, de hot line, de formation…

Le besoin de confidentialité est souvent cité comme un frein à la mutualisation des systèmes d’impression. Pourtant, les multifonctions offrent des possibilités intéressantes et fiables en la matière : codes utilisateurs, badges. Ces usages sont d’ailleurs de bien meilleurs gages de confidentialité qu’une imprimante posée sur un bureau.

L’empreinte environnementale est un enjeu de plus en plus important de ces projets d’optimisation. Qu’il s’agisse de bannir du parc les matériels obsolètes qui ne répondent pas aux normes de consommation d’énergie, de réduire la consommation de papier, de limiter le nombre de matériels ou de mettre en place des circuits de recyclage de cartouches et de machines, ces actions sont sources d’économies et entrent pleinement dans les plans de RSE.

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Imprimantes 3D

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Même si ces imprimantes sont un peu éloignées de ce qui nous occupe dans ce blog, profitons du mois de mai et de son rythme un peu plus lent pour découvrir cette révolution technologique.

Il s’agit en fait d’utiliser un fichier informatique appelé CAO (Conception Assistée par Ordinateur) pour saucissonner l’opération globale en différentes actions. Ces actions sont en fait les différentes couches qui vont se superposer pour former un objet réel.

Le choix du terme « imprimante » 3D est lié au fait que le mécanisme repose sur des buses comme pour le jet d’encre. La différence porte sur le produit projeté qui dans le cas de la 3D peut être du plastique, de la poudre de polyamide ou de la cire.

Cette révolution technologique va bouleverser nos façons de produire : plus besoin de plusieurs machines pour produire un objet, plus besoin d’assemblage, chaîne de production inutile, flux tendu possible, produits sur mesure et uniques.

Ces machines deviennent de plus en plus abordables en termes de prix. Sommes-nous en marche vers une généralisation domestique de ces matériels au même titre que les PC ?

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Comment marche l’impression laser ?

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Dans notre série « Comment ça marche », nous allons vous expliquer le fonctionnement d’une impression laser : copieur ou imprimante puisqu’à la base l’imprimante laser a été inventée par Xerox par modification d’un copieur. D’ailleurs on parle de processus xerographique. Ce procédé d’impression est apprécié pour sa qualité et sa précision.

L’opération se décompose en 6 étapes :

1 Le tambour est chargé en électricité statique. Il s’agit d’un tube qui a une assez longue durée de vie mais qui est tout de même du consommable et qui coûte relativement cher.

2 Le tambour reçoit l’image à imprimer grâce au RIP (Raster Image Processor) qui a traduit l’information reçue depuis l’ordinateur en langage compréhensible par l’imprimante. L’image est envoyée très précisément sur le tambour via le laser (ou plutôt des diodes laser) qui inverse la charge électrique du tambour aux endroits imprimés.

3 Le tambour passe devant une fine couche de toner qui a été déposée sur le développeur. Le toner est attiré par les zones où la charge électrique a été inversée et repoussé par les autres. Il ne se dépose donc que sur les zones qui ont été « imprimées » par le laser.

4 Le tambour transfère ce toner sur la feuille de papier.

5 L’encre est fixée sur le papier grâce à une cuisson à environ 200°C combinée à une pression.

6 Le tambour est nettoyé des surplus d’encre et sa charge est annulée pour qu’il soit prêt pour la prochaine impression.

Toutes ces opérations se déroulent à l’intérieur de la machine dans un circuit circulaire.

Peut-être comprenez-vous mieux pourquoi les feuilles sont un peu tièdes quand elles sortent de la machine, pourquoi une imprimante laser consomme plus d’électricité qu’une imprimante jet d’encre (la cuisson nécessite de l’énergie), pourquoi les feuilles sont légèrement enroulées…

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